1. Des vacances bouillantes (4)


    Datte: 27/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: santiano33, Source: Xstory

    ... elle peut. Elle se relève pour aller dans l’eau afin de se rafraîchir. Ses jambes tremblent, mais elle parvient tout de même à atteindre son objectif.
    
    Gérard, qui est toujours en érection, la suit de près. Une fois dans les pieds dans la rivière, le duo s’embrasse de nouveau, puis se câline. Il tente une fois de plus une approche, mais la compagne de mon père refuse. Il exprime un souhait que je n’entends pas et baisse son slip. Sa bite apparaît à la vue de tous, heureusement que le coin est tranquille.
    
    Elle se rapproche de lui, touche l’appareil comme si elle faisait une découverte, enroule la tige avec sa main puis le masturbe. Elle-même vient de briser la glace. Mon oncle ne se fait pas prier pour toucher cette poitrine fabuleuse qui me fait toujours fantasmer. Elle se met à genoux, et le prend en bouche. Je ne vois pas tout en détail, mais elle le suce, ça, c’est une certitude.
    
    Gérard prend du plaisir, son visage est rouge écarlate. De loin, je vois bien la tige entrer et sortir des lèvres de Karine. Au bout de dix minutes, mon oncle semble ne plus en pouvoir.
    
    Ma belle-mère se recule et reçoit trois-quatre jets de sperme sur le visage, et sur les seins. Le duo se nettoie comme il peut avec l’eau de la rivière et moi je viens de tacher mon maillot de bain.
    
    Les deux protagonistes reviennent, j’en profite pour aller me rafraîchir. A mon retour sur la serviette, il est l’heure de rentrer à la ferme. Ma belle-mère, Louise et moi arrivons en premier, Gérard se retrouve piéton sans vélo.
    
    Lorsque nous arrivons au domicile de Catherine et Mathieu, je me précipite dans la chambre. Ma cousine me suit de près, je ferme la porte à clé et lui explique ce que j’ai vu. Honteusement, je lui avoue que je n’ai pas réussi à intervenir. Elle arrive à me comprendre sans m’en vouloir, elle sait très bien que son père est plutôt costaud et qu’en un rien de temps je me serais retrouvé au tapis.
«1234»