Fin d'un conte
Datte: 14/01/2018,
Catégories:
h,
hh,
Collègues / Travail
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
attache,
yeuxbandés,
glaçon,
ecriv_f,
Auteur: Sandra2, Source: Revebebe
Pierre voulait être le premier à me faire l’amour avec mon nouveau sexe. Il voyait cela comme une sorte de droit de cuissage, vu que c’était lui qui avait payé l’opération. Comme il aimait les femmes sophistiquées, je m’étais habillée avec un body balconnet string en dentelle noire et rouge et des bas noirs. À peine était-il entré dans ma chambre qu’il m’embrassa fougueusement. Il me poussa ensuite sur le lit et commença à balader ses mains sur tout mon corps. Cela me rappela notre première fois, sauf que Pierre ne rencontra aucune verge lorsqu’il ouvrit les pressions qui fermaient l’entrejambe du body. Il me titilla ensuite les seins qui pointaient déjà depuis un moment en pinçant gentiment le téton et le faisant rouler entre pouce et index. C’était exquis, je ne pus m’empêcher de lâcher quelques gémissements de satisfaction. Pierre glissa ensuite vers le bas du lit et positionna sa tête entre mes jambes. Il approcha sa langue de ma chatte et en donnant quelques coups de langue, commença à la lécher. J’appréciai fortement son traitement tout en douceur et sentis le plaisir m’envahir petit à petit. Je l’encourageai à aller plus loin. Pierre se redressa et présenta sa queue à l’entrée de ma fente. J’étais anxieuse et excitée à la fois. Il me pénétra rapidement et sans beaucoup forcer. Je l’enserrai de mes cuisses pour qu’il entre facilement dans mon ventre. Il s’activa, ses mains enserrèrent mes fesses, me caressèrent les flancs. Il prit ma bouche et aspira ma langue comme ...
... pour la boire. À chacune de ses poussées je ressentis son chibre brûlant envahir mon ventre, l’irradiant de plus en plus loin, traversant mes reins, jusqu’au fin fond de mes entrailles. Je me mis à gémir de plaisir. Il m’embrassa avec plus de passion encore, ce qui amplifia encore ma jouissance. Il continuait à aller et venir en accélérant sa cadence.
— Remonte tes jambes sur mes épaules, je pourrai ainsi te prendre plus profondément, me demanda- t-il.
Je me faisais maintenant littéralement labourer. Je poussais de longs râles et mon corps se mit à trembler de contentement. Je n’avais plus aucune crainte, au contraire. Je découvris avec avidité les plaisirs inédits que me procurait ce nouveau sexe. Je lâchai sans aucune retenue des insanités pour encourager mon amant et pour exprimer la folie que me procurait tout ce bonheur.
— Bourre moi salaud… prends-moi comme la chienne que je suis…Ah!…Ah! …Aaahh, je vais jouir… continue… c’est bon. Je pars, Oooooh !
Il m’acheva par quelques coups de reins puissants. La jouissance me submergea et j’hurlai comme une folle. Au même moment, je sentis sa verge se tendre, puis sa semence m’inonder le vagin. Pierre poussa un grognement de satisfaction lorsqu’il éjacula, puis il s’étala lentement sur mon ventre. Nous restâmes ainsi quelques instants sans bouger. J’étais encore sur mon nuage. Que c’était bon ! Pierre se retira délicatement de moi. En se relevant, il me dit :
— Bien, je constate que mon investissement commence à ...