-
La servante du château (2)
Datte: 26/12/2018, Catégories: Erotique, Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... tant j’étais maculée de traces de sperme gluant et chaud. Le grand corps de mon amant s’affala sur le mien, corps à corps, jambes emmêlées, sexe contre sexe... si bien que celui de "Boubou" encore bandé entra dans le mien, littéralement noyé de cyprine. — Oouuiii ! Encore ! Devant mon encouragement, "Boubou" a relevé mes jambes de chaque côté de mon buste, un peu comme une grenouille sur le dos chercherait à se retourner et il a enfourné d’un seul coup son vit au fond de ma chatte. J’ai senti sa progression lente jusqu’à ce que nos pubis soient en contact. Comment pouvais-je absorber cette bite gigantesque sans avoir mal? La nature est bien faite... mon vagin épousait au plus près ce membre long et gros jusqu’au plus profond ! Et j’étais bien... Mais comment mon amant qui venait de s’épancher généreusement entre mes seins pouvait-il encore bander à ce point ??? Ce fut une copulation lente... le sexe mâle sortait du mien pour y entrer à nouveau sans tâtonner... On aurait dit que le gland de "Boubou" était une tête chercheuse qui trouvait son chemin sans hésiter... J’étais bien... Je savourais cette étreinte ardente qui me renvoyait bien loin dans ma jeunesse quand Jules me faisait l’amour plusieurs fois chaque nuit... — "Boubou" ...
... était infatigable... Son sexe allait et venait dans le mien comme un métronome bien réglé... Le rythme était assez lent et je savourais les sensations que cette saillie me procurait... Sa jouissance était assez longue à venir et moi... je retenais la mienne pour arriver en même temps que mon amant ! Je lui devais bien cela pour le remercier du plaisir qu’il me donnait ! Soudain, le Majordome accéléra les mouvements et je sentis contre ma matrice les pulsations drues de son plaisir avant de sombrer dans la béatitude ! Quel amant ! J’ignore à quel moment "Boubou" a quitté mon lit... Il était largement plus de minuit lorsque la fraîcheur de la nuit m’a tirée du sommeil... J’étais toute poisseuse du sperme de mon amant, mais je restai ainsi jusqu’à la douche du matin... Quand toute la domesticité féminine s’est retrouvée autour de la table du petit-déjeuner, j’ai surpris un conciliabule à voix basse entre Julie et Mélanie... À voir leur mine, j’ai compris qu’elles avaient entendu ma partie de jambes en l’air avec "Boubou" et lorsqu’elles m’ont accompagnée pour le lever et la toilette de Monsieur, je leur ai dit fièrement : — Eh oui... Même moi, j’ai goûté au "tournebroche" du Majordome ! Et nous avons éclaté de rire toutes les trois. A suivre.