Nos premières vacances à quatre
Datte: 26/12/2018,
Catégories:
2couples,
couplus,
fépilée,
vacances,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rasage,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
totalsexe,
entrecoup,
Auteur: Nanou, Source: Revebebe
... les autres le sachent, hormis nos chéris. Je suis persuadée que nos hommes vont aimer et que cette fois ils ne feront pas la tête pour faire les courses.
Sans dire un mot, Domi retire son string, il est si petit qu’il ne se serait pas deviner sous sa robe, néanmoins, c’est mieux comme cela.
Nous partons faire nos emplettes. Mais cet intermède érotique m’a mise dans un état d’envie à la limite de l’insatiabilité. Philippe a joui assez vite et si j’ai pris du plaisir à ce rapport, cela ne m’a pas totalement satisfaite. Aussi, lorsque je monte à l’arrière de notre voiture (un monospace, donc haute), je m’empresse de montrer mes trésors à mon trésor. Je sais qu’il aime ça. Philippe s’assied devant, à côté de mon époux.
Nous discutons de ce que nous devons acheter. Une fois énumérées les victuailles essentielles, je propose de racheter des préservatifs. Domi dit que, de leur côté, ils peuvent garantir qu’ils sont sains, car, hormis avec nous, ils n’ont pas eu d’autres partenaires. Bernard renchérit, car nous non plus, n’avons pas eu d’autres relations, depuis le début de notre vie commune. Question close : nous nous passerons de capote, ce qui n’est pas un mal.
Pendant que nous évoquions ce sujet, Philippe s’est retourné vers Domi et moi. J’en ai profité pour lui exposer mon anatomie : j’ai posé mon pied gauche sur l’assise du siège, il ne peut pas rater le spectacle. À un feu rouge, Bernard, intrigué, se retourne, vers moi. La vision que je lui offre le fait ...
... sourire, il dit à Philippe que je suis une petite dévergondée.
En premier, nous allons au marché pour acheter fruits et légumes. Chaque fois que je peux, je m’accroupis pour ranger nos achats dans le panier. Évidemment, pour continuer le spectacle, je le fais les genoux écartés et face à Philippe. Ensuite, dans une supérette, je change de tactique, je me penche en avant, sans plier les genoux, pour charger le chariot. Je m’arrange pour que Philippe soit derrière moi. D’ailleurs, je ne suis pas sûre qu’il soit le seul spectateur. Et je m’en moque. Nous ramenons une deuxième fois nos achats à la voiture, avant d’aller boire un coup dans un café. Nous allons sur la terrasse, il y a des chaises confortables. Je me débrouille pour me placer face à Philippe. Je ne sais pourquoi, j’ai envie de le mettre dans un état tel, qu’il s’en souvienne longtemps, je vais lui faire « payer », gentiment, son empressement de tout à l’heure.
Dès que je suis assise, je me remets dans une position similaire à celle que j’ai prise dans la voiture. J’ai pris la précaution de mettre ma chaise dans une position où il ne peut que voir ce que je veux lui dévoiler, à nouveau. Notre table est située près de l’entrée du bar, et moi, je suis face au trottoir, je pense qu’il va falloir que je fasse attention à ceux qui vont à l’intérieur.
Quoique ? Je n’entends pas arriver le serveur, je n’ai pas le temps de rabaisser ma robe et il ne loupe pas le spectacle. Plutôt que le faire à retardement, je reste dans ...