1. Les plaisirs nouveaux d'un couple mature (4)


    Datte: 14/02/2018, Catégories: Divers, Auteur: simeon01, Source: Xstory

    ... avait développé mon côté exhibitionniste et quelquefois, dans le métro quand je feignais d’ignorer le contact pressant d’un homme contre mes fesses.
    
    De là, être soumise à un amant en âge d’être mon fils, m’était apparu comme inconcevable et pourtant je l’étais. Je n’étais pas toujours très fière le soir lorsque je poussais la porte du domicile mais comme ça convenait à Siméon...
    
    C’est seulement quand David était au bord de l’orgasme qu’il décidait de s’occuper de moi. Il m’entrainait sur le lit.
    
    En un tour de main, il troussait ma jupe et s’escrimait sur mon slip. J’obéissais : J’écartais les cuisses. Je n’étais plus moi. J’étais une autre, celle qui maintenant des deux mains, ouvraient son ventre pour mieux l’offrir à cette bouche vorace, A ce moment-là, Oui je devais être cette Salope que Lui et Siméon (et d’autres sûrement) voulaient tant que je sois.
    
    Je sentais sa langue qui m’affolait, ses doigts qui me fouillaient. Je le sentais partout. Devant, derrière à la fois. Je perdais toute pudeur. Il m’insultait, commentait, me questionnait. Non je n’étais pas comme il disait et pourtant j’écartais les cuisses et je mouillais. Il savait où et comment me caressait et je m’offrais. Oui j’avais envie de sa queue !
    
    Après toutes ces années passées à être fidèle, je vivais en partie mes fantasmes. Siméon avait raison : Faire l’amour avec un autre homme n’était physiquement guère différent et l’amour n’avait à voir là-dedans. David était beau certes, mais surtout il ...
    ... m’offrait une symphonie de caresses, un tourbillon sexuel auquel je ne pouvais résister. J’étais libre. Dans un autre monde. J’oubliais mes états d’âme, les possibles qu’en dira-ton. Je redécouvrais un regain de jeunesse. Le plaisir de plaire. Un plaisir qui s’était trop longtemps tu. Une manière de faire différente. Un corps différent.
    
    Quand deux heures après nous quittions la chambre, j’étais repus et endolorie des orgasmes qu’il m’avait fait connaitre. Chacun de nos intermèdes à l’hôtel ou ailleurs étaient source de plaisir. Je ne connaissais plus de limites.
    
    J’avais cette image de nous captée dans le miroir lorsqu’il me prenait comme une chienne (sic). Ses assauts puissants, le bruit de nos deux corps s’entrechoquant. De mes efforts pour ne pas crier. Du plaisir que provoquait sa présence entre mes reins.
    
    Cela me paraissait inimaginable et pourtant ce que je croyais impossible, s’était révélé : je faisais l’amour uniquement pour le plaisir du sexe. J’étais sortie d’une sorte de léthargie.
    
    David étant sexuellement sain, nous n’avions plus de rapports protégés et parfois, Siméon en était le témoin.
    
    Parfois parce que le planning de la journée ne nous avait pas permis de nous rencontrer, je faisais des heures supplémentaires … et parfois c’est encore pleine de la jouissance de mon amant que je regagnais la maison.
    
    Il appréciait ce petit coup de jeune que vivait notre couple et ne s’est pas étonné du petit rafraîchissement pubien qui s’est opéré. Il y voyait là ...