1. Grandeur et décadence


    Datte: 26/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Quintessence2017, Source: Hds

    ... fouets, des bâillons... absolument tout.
    
    Tous les jours, je les sors dans la partie sans vis-à-vis de mon jardin. Là, je les attache bien fermement, je les badigeonne d'huile afin qu'ils puissent bronzer. Il est hors de question que je m'envoie en l'air avec des blanc-becs tout palots. Caresser leurs musculatures luisantes et proéminentes est l'une des choses qui m'excite le plus. Souvent je m'enduis moi-même d'huile, et je me frotte le corps sur eux pour les badigeonner. Ça me trempe la chatte à tous les coups. Je pense que ça ne les laisse pas indifférents non plus car je sens leurs grosses bites se durcir à une vitesse record. Ensuite j'attise le feu en frottant un peu mon cul dessus, puis je m'envoie avec eux.
    
    Aujourd'hui c'est comme ça que j'ai fait. Sauf qu'au lieu de m'envoyer avec eux, je les ai laissés là, les membres bandés à en faire mal, et je suis allée m'étaler tranquillement dans l'autre partie du jardin, offrant mon beau corps huilé à la merci du regard lubrique du voisin. Imaginez un peu la frustration pour eux. Cela fait trois jours que je baise à droite à gauche, et eux sont là, les couilles pleines, dans l'incapacité même de se branler.
    
    Lorsque j'ai considéré que j'avais assez pris le soleil, je retourne les voir :
    
    " - Alors les gars, ça redescend pas tout ça ?"
    
    Je me met à les narguer. Je les chauffe. Je veux qu'ils me mettent une branlée mémorable cette fois. Je caresse leurs bites, je passe de l'un à l'autre. Je passe mes mains sur leurs ...
    ... torses luisants, leur titillant les tétons et griffant leurs pectoraux. Je les embrasse tour à tour, je les caresse de toutes parts, tantôt les branlant, tantôt leur agrippant les fesses avec gourmandise. Je commence à me laisser aller, à me vautrer dans la débauche.
    
    Soudain, un bruit sourd retentit. Un bruit de métal brisé. Je sursaute. J'ai à peine le temps de réaliser ce qu'il se passe que je vois l'un de mes deux colosses qui se rue sur moi, les bras tendus. Il m'attrape au cou et me soulève presque du sol pour coller son visage au mien.
    
    C'est alors que je comprends avec horreur la situation. Je n'ai pas vérifié les chaînes depuis trop longtemps. L'un des deux a réussi à les briser, et je suis désormais à sa merci.
    
    La scène a quelque chose de terrifiant, mais à la fois horriblement jouissif.
    
    Il me considère un instant, prêt à exploser. Je sens dans son regard toute la haine accumulée depuis son enlèvement. La rage des mauvais traitements, la soif de vengeance.
    
    Il me serre fort le cou, de plus en plus fort, je ne peux presque plus respirer.
    
    Il me retourne, me prenant à la nuque, me cambre de force, et m'enfile une volée de claques sur le cul comme je n'en ai jamais vues. Il y met toute sa force, toute sa rage.
    
    Lorsqu'il s'arrête je me retourne, moitié sanglotante, moitié résignée : je sais que je mérite très largement ce traitement. C'est comme si je redescendais sur Terre ou que je me réveillais après un doux rêve.
    
    Il me lâche et me lance :
    
    " - ...