1. Sur le chemin du retour


    Datte: 25/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exelmans, Source: Hds

    ... tous les deux debout. Je l’embrasse à pleine bouche en même temps pour lui faire goûter son jus. Elle jouit en me mordant la langue. Elle est un peu groggy, je la fais s’accroupir, et elle me suce les jambes écartées.
    
    Sa technique a bien évolué, et elle met beaucoup de salive (j’adoooore), et devient de plus en plus gourmande. C’est vraiment agréable, surtout lorsque sa langue, douce au possible, vient passer délicatement sur mes testicules. Elle a compris qu’une langue en pointe n’est pas la plus agréable, et lorsqu’elle s’applique à avoir la langue la plus large possible, c’est magique. Ses va-et-vients se font de plus en plus rapides, et je suis sur le point de céder.
    
    Elle me dit alors de sa voix douce, et la bouche pleine, “c’est perturbant, j’ai l’herbe qui me chatouille en dessous”. (On ne peut pas l’inventer, ça…)
    
    Nous rigolons, elle se cambre à nouveau contre l’arbre décrit tout précédemment, et je m’enfonce en elle. Elle ne gémit plus, manifeste son état de béatitude. Je laisse envoler mon côté gentleman pour la pilonner sévèrement. Je me sens défaillir, et me retire, un peu précipitamment certes, pour jouir sur ses fesses. Il n’y en avait pas des litres, mais assez pour tacher son pantalon.
    
    Elle s'assit alors dans l’herbe ...
    ... pour enlever le maximum de sperme. Une envie pressante s’est fait sentir. Elle urine alors dans l’herbe. Elle reprend ses esprits assez vite, et dit :
    
    ”Mais tu me regardes?! Je suis en train de faire pipi, là! Si tu continues je te fais dessus!”
    
    Ma major de promo se lache! Je lui souris, fais mine de lui tourner le dos, avant de me retourner vers elle et la fixer. Elle sourit, sachant que je ne cèderai pas. A cause de sa remarque, de surcroit.
    
    Au moment de se rhabiller, mon regard est captivé par le sien, intense! Elle vient m’embrasser à pleine bouche. Et me sourit à nouveau.
    
    Lorsque nous sommes sortis de notre “cachette”, au niveau de la piscine, avenue foch, un homme qui passait par là nous a demandé du feu. A ce moment, madame lui tourne le dos en cherchant du regard quelque chose qui n’existe pas.
    
    “Oh mais votre veste est sale, mademoiselle, vous avez de la terre plein le dos…”
    
    Elle ne s’est pas démonté, lui a répondu d’un hochement de tête accompagné d’un grand sourire. Je lui ai tendu mon briquet, et, d’un air entendu, nous a répondu “Merci messieurs dames”.
    
    Nous sommes rentrés tranquillement avec un sentiment mutuel d’accomplissement. Et c’est bon!
    
    Je reste bien évidemment ouvert à tous vos commentaires.
    
    Bien à vous, 
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