1. Sylvain/Sylvianne


    Datte: 14/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Transexuels Auteur: claude4472, Source: xHamster

    ... permettent de palier à toute envie d'indépendance. De plus, mon fils a à disposition chez sa mère le nécessaire pour se soulager dans les meilleures conditions. Sans vivre une relation de type homo.
    
    II va sans dire que, de ce fait même Sylvianne doit être une vraie femme tant dans son allure, son maintien, que sa tenue. Je dis bien une femme, une épouse soumise et "annexée" et non une catin vulgaire, prêtée à qui la désire. Elle doit dès le lever, à sept heures, aller faire sa toilette, pour se présenter fardée, poudrée, parfumée, sexy etc. Je lui ai appris ces derniers mois a se comporter en femme-femme, à l'excès. Souvent, alors que je prends mon petit déjeuner au lit, elle œuvre entre mes jambes, ou entre celles de Pierre, qui la termine en levrette. Ma méthode n'est pas celle employée par la plupart des dominatrices dont je suis les témoignages. Pour moi, le réel dressage s'effec­tue le moins violemment possible, mais à l'aide de multiples humilia­tions, publiques, privées. Leurs fréquences créant chez le sujet un véri­table conditionnement en profondeur à caractère quasi définitif. Bien évidemment, il m'est arrivé, et cela arrivera de nouveau, de la gifler,de la battre. Ceci n'est qu'un moyen, jamais une fin. Nul besoin d'éle­ver le ton. Cette méthode a donné des résultats spectaculaires chez Sylvianne qui est aujourd'hui le type même de la poupée maniérée. Entrée dans son subconscient, elle sera toujours marquée.
    
    Une amie a entrepris un dressage de ce type sur un ...
    ... petit mâle, que rien ne prédis­posait pourtant à première vue, et cela fonctionne à merveille. Il tra­vaille maintenant dans son institut après avoir passé un diplôme d esthéticienne dans un cours privé, sur les injonctions de son épouse. Lui, qui était employé de banque, très jeune cadre dynamique, est méconnaissable en employée soumise et coquette, au point que même son épouse s'en étonne lorsqu'elle le voit remplir sa tâche à l'institut, et à la maison.
    
    Enfin, lorsque Sylvianne me satisfait, elle est récompensée systématiquement par des gâteries (enculades...) ou des présents (par­fums, guêpière, rouge à lèvres ...) que nous allons acheter ensemble.
    
    Depuis le début j'ai pris l'option de la mise à l'épreuve des regards dans la rue, où que nous soyons, et fais en sorte pour que chacun sache ce qui se cache entre ses jambes, gainées et lisses.
    
    Cette révélation lui fait toujours autant d'effet, elle baisse les yeux et a honte. Parfois, lors d'essayages, je lui demande de relever sa jupe pour que la vendeuse constate. Idem chez le coiffeur, ou en présence d'amis. Curieusement, les gens me donnent l'impression de me respecter d'autant plus...
    
    La première fois que je l'ai sortie pour la féminiser, dans un insti­tut (celui de mon amie), je ne l'ai pas avertie. C'est en jean et tee-shirt que je l'ai amenée. Elle en est ressortie maquillée comme un coucou, parfumée, épilée, mais toujours vêtue en garçon.
    
    Ensuite, je la fis marcher devant moi, les passants effarés se ...