Je suis une chienne en chaleur (2)
Datte: 25/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Petitesalopeabites, Source: Xstory
... cette petite pute, j’ai rarement vu un sac à foutre si obéissant.
Les deux autres, bien excités, commencèrent alors à me cracher dessus pendant que le vieux se finissait dans ma bouche en me gueulant dessus. J’étais couverte de bave, je ne pouvais plus ouvrir les yeux, et ma bouche fut remplie de bon sperme chaud par le vieux qui giclait à n’en plus pouvoir en me traitant de vide-couilles, de pute à jus, de pompe à foutre et de bonne suceuse à papa.
Les deux copains, voyant mon état, étaient surexcités, ils n’en revenaient pas. Pendant que le vieux se rhabillait, ils murmuraient entre eux
— Non mais t’as vu cette pute, putain qu’est-ce qu’il lui a mis le vieux, elle doit aimer ça putain mais quelle chienne j’ai jamais vu une meuf aussi dégueulasse et pathétique pour de la bite putain...
Le vieux me gifla une dernière fois avant de partir et me regardant dans les yeux me demanda :
— Qu’est-ce qu’on dit à papa ?
Comme je ne savais pas quoi répondre je ne dis rien et une seconde gifle arriva dans ma gueule de salope, faisant gicler la bave et le sperme qu’il me restait au coin des lèvres
— On dit merci sale pute, me dit le vieux en me pinçant les tétons très fort, merci papa de m’avoir nourrie au foutre, allez les gars, occupez-vous bien d’elle.
Puis il s’en alla.
Les deux mecs avaient eu le feu vert, ils ne se firent pas prier. Le grand me regarda et me demanda d’ouvrir la bouche. Il cracha dedans et me dit de tout avaler comme une bonne chienne ...
... obéissante. L’autre me touchait partout. Il me malaxait les seins, sortait sa langue pour les enduire de salive, suçait mes gros tétons de pute, crachait sur mes seins, puis il fit glisser une main vers ma chatte, trouva mon gros clito bien dressé et ma moule dégoulinante, il se tourna vers le grand et lui dit
— Oh putain la chienne, elle mouille comme une fontaine.
Il se mit à m’enfoncer des doigts violemment et à me traiter de tous les noms.
Pendant ce temps, le grand avait sorti sa bite, elle n’était pas très longue mais très large, prit ma main et la serra autour de sa queue en me regardant
— Vas-y branle maintenant ma belle, montre ce que tu sais faire...
Tandis que je me mis à branler sa belle bite, l’autre, toujours occupé à m’enfoncer des doigts dans la chatte trempée de salope que je suis, avait sorti sa bite et la frottait contre mon corps comme un chien. J’avais toujours adoré avoir l’impression d’être un objet pour aider les hommes à se masturber. J’aimais avoir des bites qui se frottaient à moi.
Tandis que le grand prit ma tête dans ses mains pour me forcer à lui avaler la bite sur toute sa longueur, j’entendis du bruit dans le parking. Des hommes qui discutaient. Ils étaient au moins trois.
Puis je les vis arriver. Ils étaient en fait cinq. Ils se dirigèrent vers nous d’un pas décidé. Plus personne ne parlait depuis qu’ils avaient aperçu au milieu du parking, une pute en train de baver sur une queue et un autre mec qui se frottait à elle comme un ...