1. Aventure en montagne


    Datte: 25/12/2018, Catégories: hh, hplusag, grossexe, poilu(e)s, froid, Oral hdanus, hsodo, occasion, Gay Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... un buisson pas très ardent. Une bite fuselée qui reposait mollement sur la cuisse du jeune homme.
    
    Jérôme se secoua. Il devait se reprendre. D’une main tremblotante, il étala la pommade de chaque côté de la cheville contusionnée et entama un massage à la limite de la caresse.
    
    Christophe, appliqué à contrôler sa douleur, n’avait pas eu conscience du comportement libidineux du père Danlébois quand il lui ôtait son fut’. Maintenant que l’onguent et le massage chassaient le mal, il sentait la douceur de ces mains. Il comprenait bien qu’elles remontaient parfois un peu haut. Il souhaitait qu’elles montent encore plus haut. Il se sentait bien, il ne voulait pas rompre le charme. Il se serait bien abandonné à ses attouchements mais fallait pas rêver, peu de chance que le vieux aime ça.
    
    Il garda les yeux fermés acceptant ces caresses jusqu’au moment où sa bite réagit. Par peur de la réaction de son hôte, il se redressa.
    
    — C’est génial votre truc, je n’ai presque plus mal.
    
    Il s’assit essayant de cacher les prémices de son érection entre ses cuisses serrées. Il n’eut aucune difficulté. Jérôme, lui aussi, très perturbé, n’osait pas regarder le jeune homme de peur qu’il lise dans son regard le désir qui l’habitait. Sa queue, engoncée dans son futal, lui causait quelques soucis. Il se força à parler :
    
    — Je vais te mettre une bande et demain, il n’y paraîtra plus.
    
    La bande posée, il ouvrit le lit pour que le jeune homme puisse s’allonger confortablement.
    
    — Comme ...
    ... tu as pu le constater, il n’y a qu’un lit mais il est suffisamment grand pour que nous ne gênions pas…
    
    Il continua :
    
    — Désolé, je n’ai pas de télé. J’ai quelques bouquins policiers si tu veux lire un moment.
    — Non merci. Vous êtes bien gentil mais je vais essayer de dormir ; j’suis crevé. Vous faites comme vous avez l’habitude, j’veux pas déranger.
    — Tu sais petit, je vis au rythme du temps, quand il fait nuit, je dors.
    
    Il éteignit les lampes-tempête et ouvrit une espèce de paravent devant la cheminée installant la pièce dans une obscurité relative. Sa bite, si elle n’avait pas retrouvé une attitude de repos, avait perdu de sa raideur. Il enleva son futal sans trop de gêne. Il se glissa rapidement sous les draps.
    
    Il fallait qu’il cesse de penser à ce jeune corps nu, désirable allongé à portée de sa main. Il récita certains mantras qui l’avaient beaucoup aidé au début de sa solitude. Mais ça n’accrochait pas. Sans cesse, ses pensées revenaient à cette chair souple, délicate, quasi féminine que ses doigts avaient effleurée un peu plus tôt. Mantras… Mantras…
    
    Il imaginait ces fesses croquantes qui s’ouvraient pour offrir à sa convoitise cette rondelle sans doute vierge. Il avait dû se tourner sur le côté droit, dos à Christophe car sa queue avait retrouvé son volume, sa rigidité, tressautant doucement aux péripéties de son fantasme.
    
    Ironie de la situation, Christophe lui non plus n’arrivait pas à trouver le sommeil. Ses pensées suivaient un cours parallèle et ...
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