1. Naissance d’une s..... -2 -


    Datte: 24/12/2018, Catégories: Hardcore, Auteur: jack64410, Source: xHamster

    Naissance d’une S..... - 2 -
    
    En rentrant chez moi ce soir là, j’eus droit à une scène épouvantable de la part de mon mari.
    
    Il voulait absolument savoir ce que j’avais fait et j’eus beau lui dire que j’avais passé le temps dans un bar à réfléchir, il ne me crut pas .
    
    Loin de s’excuser de son comportement à mon égard, il voulait que je lui avoues que je l’avais trompé.
    
    Devant tant d’insistance , la moutarde me vint au nez :
    
    - Puisque tu veux tout savoir, oui ! Tu es cocu. Je me suis envoyée en l’air avec plusieurs mecs ce soir !!
    
    - Salope ! dis moi tout .
    
    Bizarrement cette situation eut l’air de l’exciter , j’eus furtivement l’impression que son entrejambe se tendait.
    
    Je lui racontai alors que je m’étais faite draguer par des jeunes, que deux d’entre eux m’avaient baisée dans les wc d’un bar , que j’avais sucé le 3 ème et qu’à la fin de la soirée j’avais avalé le foutre d’un petit vieux.
    
    Je lui donnai force détails , exagérai même le trait tant je me rendis compte de l’effet que mes paroles produisaient sur mon époux.
    
    Cette aventure avait l’air tellement extraordinaire pour la prude épouse que j’étais, que je pense qu’il ne me crut pas.
    
    Peu importai après tout, la réconciliation eut lieu dans le lit conjugal, ma chatte prenant sa 3 ème bite de la soirée.
    
    Et, effectivement, son excitation fut perceptible. Il y avait des lustres que je n’avais pas senti mon cher et tendre aussi raide. Il me prit en levrette, me traitant de grosse pute ...
    ... infidèle .
    
    Comme j’acquiesçais, mon légitime prit son pied alors que je le traitais de cocu et je découvris ce soir là le pouvoir des mots .
    
    Les quelques jours qui suivirent cette soirée furent pour moi un calvaire. J’essayais de résister à la tentation de téléphoner au bistrot. Je me disais que j’étais folle , que rien ne bon ne sortirait de cette aventure. Et pourtant ma chatte se liquéfiait chaque fois que je repensais à cette soirée et je n’arrivais à calmer cette excitation qu’en me masturbant et en jouant avec mon gode préféré .
    
    Mon mari, de nouveau pris par son métier , ne semblait pas faire attention à moi davantage. Curieusement , j’en avais pris mon parti sachant peut être inconsciemment que je trouverai des compensations ailleurs.
    
    Cela ne tarda guère.
    
    Il me fallait un prétexte, une petite dispute conjugale, sans gravité ni conséquences me le procura.
    
    Dès le lendemain :
    
    — Allo ? Bonjour c’est Florence.
    
    La voix grave du patron me répondit :
    
    — Bonjour Florence , c’est Pierre. Je savais que tu appellerai.
    
    J’hésitai , il reprit.
    
    — Je t’attends cet après midi. Nous parlerons...
    
    Et il raccrocha.
    
    A 15 heures, je passai la porte du bistrot.
    
    Dès qu’il me vit entrer , Pierre chuchota à l’oreille de sa jeune employée et, de la tête, me fit signe de le suivre derrière le bar. Il me fit entrer dans une arrière salle lui servant apparemment de bureau et de lieu de repos, un canapé et quelques fauteuils entourant une table basse.
    
    Il me fit ...
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