1. Le chalet de mon oncle


    Datte: 22/12/2018, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica

    ... se tortillait sur sa chaise.
    
    « Parfois tu penses à des choses sale, puis tu as honte et tu t'en veux »
    
    « Ça ne réponds pas à ma question, vous m'avez pas dit comment vous me satisferiez »
    
    « Eh bien, je suis sûr que tu veux être dominée. »
    
    Je m'attendais à ce que ma petite amie se lève et parte, mais au lieu de ça elle demanda calmement « Quoi de plus? »
    
    Mon oncle expliqua «Ton genre, c'est faire l'amour tout le temps, et je parle pas de baiser normalement, je parle de sexe sale, humiliant.»
    
    Il y eu un silence «J'ai raison non? »
    
    Aurélie copine resta calme.
    
    Il poursuivit « Tu veux être forcé de baiser. Tu veux un homme, un vrai, qui réalise tes perversions. »
    
    Je n'en pouvais plus. Ne sachant pas quoi faire, je simulai que je me réveillais. Ils restèrent silencieux. Ils ne soupçonnaient pas que j'avais entendu leur conversation. Prétextant la fatigue, je leur dit que j'allais me coucher. Mais une fois dans le salon obscur, au lieu de monter à l'escalier, je restai caché derrière le rideau qui séparait les deux pièces. Depuis ce poste d'observation j'avais une vue imprenable sur la cuisine.
    
    Mon oncle, satisfait souriait. Cambré contre le dossier de sa chaise, il exhibait son gros ventre rond, le nombril à l'air. Sa petite taille accentuant l'effet d'obésité, il avait l'air plus pervers que de coutume.
    
    Aurélie brisa le silence « Vous êtes complètement trompé sur moi. »
    
    «Je crois pas, et je peux te le prouver. » Dit-il.
    
    « Comment? » ...
    ... Demanda-t-elle d'une petite voix effrayée.
    
    « Facile ». Dit mon oncle qui se leva l'attrapa para la taille et enfonça sa main grassouillette entre les jambes de ma copine qui portait une jupe en coton. Aurélie haleta, il lui fallut un moment avant de réaliser ce qu'il se passait. Elle serra les jambes et essayé de le repousser, mais il était trop fort.
    
    J'étais hors de moi. Je savais que j'aurais dû me précipiter pour arrêter ce vieux vicieux, mais je bandais de le voir toucher ma petite amie comme jamais je ne l'avais fait.
    
    Aurélie dit en colère. "Arrêtez!"
    
    La main dodue allait et venait sous sa jupe. J'étais tellement excitée que je commençai à frotter mon sexe à travers mon pantalon.
    
    «Si vous arrêtez pas, je vais crier. »
    
    Mon oncle la regarda et dit: «Si tu devais crier tu l'aurais déjà fait ... tu es qu'une pute réticente »
    
    A ces mots orduriers Aurélie frémit. La main de mon oncle accélérait. Je ne pouvais en croire mes yeux, mais elle avait l'air de réellement en profiter. Ses yeux se fermèrent et elle dit «S'il vous plaît».
    
    Mon oncle sourit exhibant sa denture dégelasse. Il baissa les yeux sur elle et dit «Écoutez, tu es qu'un chienne qui a besoin qu'on lui dise quand écarter les jambes, quand baiser, quand jouir ... »
    
    Aurélie gémissait à chacun de ses mots.
    
    « Fait ce que je dis. Enlève ta jupe et ta culotte ... écarte bien »
    
    Elle obéissait docilement à chaque ordre. Pendant qu'elle faisait glisser son habit, mon cœur battait comme si il allait ...
«1234...7»