1. Ma première expérience avec ma belle-mère.


    Datte: 22/12/2018, Catégories: Première fois Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... avec ses collègues de travail. Le repas n’était cher mais le chef faisait bien la cuisine.
    
    Au « Bistrot », nous nous s’installèrent sur une petite table ronde au milieu de la salle, je m’efforçais d’utiliser mon charme pour ne pas décevoir Lili. Sophie comprenait, que j’étais vraiment épris de sa fille et se demandait si Lili avait les mêmes sentiments que moi, elle était distante depuis plusieurs jours et faisait des signes à ses copains et copines me délaissant quelque peu.
    
    Ma fiancée quitta la table un instant pour aller discuter avec quelques amies à une table voisine, Sophie avec un culot monstre en profita pour poser sa main sur ma cuisse, ce n’était pas dans ses habitudes, mais ma belle-mère était très tactile, souvent elle me touchait la main ou lorsqu’elle me faisait la bise me prenait par les hanches m’attirant vers elle, je n’avais jamais remarqué qu’elle l’était autant que ce soir-là. Voyant que tout en me parlant, sa main restait sur le haut de ma cuisse, Je voulais lui enlever délicatement mais Sophie m’impressionnait trop pour que je me permette de la vexer. Elle me dit alors :
    
    — Je crois que Lili te délaisse trop à mon gout. Tu sais, Grégoire, tu devrais t’imposer plus avec elle.
    
    Ne sachant que répondre, sa main avait glissé un peu plus vers l’intérieur de ma cuisse, je sentais monter en moi en un certain désir, j’ai posé ma main sur la sienne pour lui retirer mais je ne l’ai pas fait. Nos mains étaient restées l’une sur l’autre, elle retira ...
    ... la sienne et me dit :
    
    — Je ne comprends pas ma fille, tu es si beau Grégoire ?
    
    Elle prit ma main et la posa sur sa cuisse remontant ainsi sa petite robe légère. Devant le calme la franchise des propos de Sophie et de son geste sans équivoque, je perdis encore un peu plus de mon assurance mais je restais lucide, Sophie m’avait excité et elle le voyait, elle ne me quittait pas des yeux. Elle écartait les jambes afin que ma main vienne caresser son intimité, elle n’avait pas de petite culotte. Elle me dit en blaguant :
    
    — Si tu veux la fille, il faut prendre la mère.
    
    Puis elle se mit à rire en posant une nouvelle fois sa main bien plus haut directement sur ma verge qui tendait le tissu de mon pantalon. Un couple en face de nous nous regardait en parlant à voix basse, ils ne nous quittaient pas des yeux, elle me dit :
    
    — Tu les a vu, ils matent, ça m’excite encore plus »
    
    C’est vrai que j’avais une envie folle de joindre l’utile à l’agréable en couchant avec Sophie que je trouvais tout à fait à mon gout, c’était une très jolie femme et très aguichante mais cela ne restait qu’un fantasme de jeune. Sophie hasarda sa main encore plus haut, j’écartais les cuisses afin qu’elle puisse accéder là où elle voulait aller. Elle me sourit et dit :
    
    — Quelle chance elle a ma Lili.
    
    Sophie avait très envie de moi, elle passait sa langue sur ses lèvres tout en me fixant droit dans les yeux, cela m’excitait et sans mentir, elle me dit :
    
    — Oui, tu es vraiment un étalon ...