1. COLLECTION PUCEAU – PUCELLE. Le copain de mon fils. (1/2)


    Datte: 22/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... mise nue quelquefois quand mon fils était chez ma belle-mère, mais j’ignorais que tu me voyais.
    
    • Il y avait un trou dans la palissade que votre mari avait mise, je dois dire qu’au début il était gros comme une pièce d’un centime d’euros et que je l’ai agrandi pour qu’il soit aussi gros que deux euros.
    
    • Mon Dieu, jouais-tu les voyeurs ?
    
    • Pas longtemps, mon père m’a surpris et j’ai ramassé la volée de ma vie, mais je vois que vous avez construit un mur en parpaings, il a donc disparu.
    
    • Oui, le voisin qui a racheté votre maison avait trouvé le trou et il me matait, David la surprit un jour, il a fallu que je les sépare et pour apaiser les esprits ils ont construit cette horreur.
    
    • On est donc à égalité, je sais que vous avez des seins magnifiques et vous savez que j’ai une bite hors du commun.
    
    Nous avons cette conversation dans notre salon plus particulièrement sur le canapé qui fait la fierté de mon mari depuis que, nous avons réussi à l’acheter après de grosses économies.
    
    • Pas tout à fait, Joaquim, tu as vu mes seins, mais moi Thomas m’a posé la question, pourquoi il avait un petit zizi comparé au tien.
    
    • J’ignorais que je l’avais traumatisé quand nous étions dans les douches.
    
    • Il s’en est bien remis, pour preuve dans les années qui ont suivi le nombre de cartes postales qui parsemaient ses draps sans oublier la petite copine qu’il a séduite, mais qui l’a quitté pour aller avec Lucien.
    
    • Lucien, le gros Lucien, il s’est fait tirer sa copine ...
    ... par Bibendum.
    
    • Cela c’était auparavant, tu le verrais maintenant, tu serais surpris, il a des tablettes de chocolat ayant perdu presque 30 kilogrammes.
    
    • Mais vous semblez intéressé par les jeunes hommes Irène.
    
    Il vient de laisser tomber les mesdames pour directement m’appeler Irène.
    
    • J’ai trente-six ans, je pourrais être ta mère.
    
    • Si tu la voyais, tu parlerais autrement, tu es canon comparé à elle qui doit peser plus de 100 kilogrammes, mais si j’ai bien compris tu regrettes que j’aie vu tes seins et que ma bite te reste inconnue, tu veux la voir.
    
    • Joaquim tu es fou, tu es le camarade d’enfance de mon fils.
    
    En disant ses mots avant que j’aie le temps de reprendre mes esprits et d'amener la conversation vers une pente moins glissante, il se lève et me sort cette chose qui a paru phénoménale à Thomas dans les douches qui plus est dans leur jeunesse.
    
    Je dois reconnaître que j’en ai le souffle coupé, j’ai vu l’engin d’un cheval un jour ou nous marchions sur la route en longeant un enclos ou un étalon avait envie de la petite jument qu’on lui avait mise auprès de lui mais même au repos, sans l’égaler Joaquim avait de quoi parler aux femmes.
    
    • Suce là, à ton regard je sens que tu en as envie.
    
    Comment j'arrive à me redresser, tendre la main et agripper cette difformité du moins, c’est la première impression que j’ai devant ces 35 à 40 centimètres?
    
    Moi qui n’aie vu en la masturbant que la seule bite de David sans jamais la mettre dans la bouche, ...