Daphnée
Datte: 14/02/2018,
Catégories:
ff,
frousses,
massage,
intermast,
Oral
69,
init,
initff,
Auteur: Swallowlys, Source: Revebebe
Nous sommes au mois de décembre, la température extérieure n’excède pas les deux degrés. Assise près de la fenêtre de la cuisine, je guette Daphnée qui ne devrait pas tarder à arriver.
Daphnée est une très bonne amie à moi, nous nous connaissons depuis quelques mois seulement mais notre amitié a tout de suite été fusionnelle. Physiquement nous nous ressemblons : 1,70 m pour 58 kg, un bon 85B et un petit ventre moelleux sur lequel les garçons aiment poser leur tête. Notre seule différence réside en son opulente chevelure rousse et mon carré brun mi-long.
Daphnée sort depuis quelques mois avec un ami à nous : Damien, un grand blond aux yeux bleus, type rugbyman. Depuis que je le connais, bien que je sois amoureuse d’un autre, je fantasme à mort sur lui ! Est-ce son sourire, ses mains puissantes, cette façon qu’il a de me regarder ? Combien de nuits brûlantes ai-je passées dans ses bras, me réveillant avec un désir douloureux dans le bas-ventre ? Alors je me laissais glisser doucement sous la couette, je me hissais au-dessus d’Anthony (mon copain depuis quatre ans) et je commençais à lécher doucement son sexe endormi. Son pénis ne tardait jamais à se réveiller et à grandir dans ma bouche au fur et à mesure que je le caressais avec ma langue. Souvent c’est encore ensommeillé que mon copain me retournait sur le ventre pour venir se poster entre mes cuisses. Mouillée comme je l’étais après mon rêve avec Damien et la fellation juste accomplie, il n’avait aucun mal à se fondre ...
... en moi, heurtant le fond de ma caverne. En quelques coups de reins il arrivait à me faire décoller vers l’orgasme salvateur et ne tardait pas à éjaculer en moi.
Bien que je rêve que Damien me fasse jouir, je suis heureuse que ce soit Daphnée qui en profite !
Anthony est parti pour le week-end chez un ami, ce qui n’est pas plus mal car nous avons besoin d’un moment, seules entre filles.
Je vois Daphnée descendre de sa voiture, prendre sa valise dans son coffre et se diriger vers mon immeuble, il me semble qu’elle pleure. Quelques instants plus tard c’est une rouquine en larmes qui se jette dans mes bras.
— J’ai quitté Damien, m’annonce-t-elle !
Je sais qu’avec elle poser des questions est inutile, j’attendrai qu’elle soit prête pour en parler. Je la serre donc dans mes bras et nous nous effondrons sur le canapé. Blotties l’une contre l’autre, nous ne disons rien. Au bout d’un moment je me rends compte que Daphnée s’est endormie. Je me dégage doucement de son emprise et, en souriant, je pars préparer notre dîner.
Alors que j’ajoute une dernière pincée de poivre à mon poulet au curry, je sens deux mains qui m’entourent la taille et un souffle chaud qui me balaye la nuque.
— J’aime être contre toi. Tout contre toi. Ah Anne, si seulement tu n’étais pas une femme !
Naturellement, je me retourne vers elle, je sens ses seins contre ma poitrine. Je lui effleure les épaules et l’embrasse sur la joue.
— Tu sais que tu peux compter sur moi, lui dis-je.
Elle ...