1. Indiscrétion dans la colocation


    Datte: 19/12/2018, Catégories: h, hh, jeunes, voisins, douche, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, Masturbation hsodo, Auteur: FelixMend, Source: Revebebe

    ... Lui faisant confiance, Arnaud avait accepté.
    
    Et il ne regrettait pas. Jérôme lui plaisait. Réservé, il parlait peu et son regard était souvent teinté d’une lueur de doute, d’interrogation, qui contrastait fortement avec sa forte carrure. Arnaud, du haut de son mètre soixante-dix-huit, se trouvait assez petit à côté de Jérôme, qui le dépassait d’au moins cinq centimètres. Mais c’était surtout la largeur de ses épaules qui impressionnait Arnaud, tout en lui plaisant énormément.
    
    Il se hissa légèrement sur la pointe des pieds. Ces épaules, il les avait devant ses yeux à cet instant et il pouvait les admirer à loisir. Mais bien vite, son regard descendit le long de son dos musculeux pour s’arrêter sur ses fesses.
    
    Jérôme était entièrement nu.
    
    L’atmosphère de la pièce avait dû le dissuader d’enfiler son boxer trop tôt, préférant attendre que le chaud brouillard s’échappe peu à peu par la fenêtre qu’il venait d’ouvrir. Arnaud remerciait intérieurement la distraction passagère de Jérôme, par laquelle il avait oublié d’ouvrir avant d’entrer dans la douche, et qui offrait maintenant à Arnaud ce moment de délicieuse indiscrétion.
    
    Ses fesses étaient pratiquement imberbes. Lisses et légèrement rebondies, elles dégageaient une impression de fermeté et de douceur mêlées qui donnait à Arnaud l’envie de les prendre dans ses mains ouvertes, pour les caresser et les soupeser comme on fait de fruits bien mûrs. Arnaud n’apercevait aucun poil non plus sur ses cuisses massives qui ...
    ... supportaient ce corps solidement charpenté. Les premiers poils assez fins apparaissaient au niveau de ses genoux et descendaient le long de ses mollets charnus jusqu’à ses pieds, larges et fermes, dont la forme même était agréable à l’œil.
    
    Arnaud regardait fasciné la peau uniformément lisse de son colocataire, qui, alliée à sa silhouette râblée, lui conférait de la nuque aux orteils une sorte de pureté brute. Il prenait un plaisir qui le surprenait lui-même à épier les mouvements de ce corps jeune et pourtant infiniment viril, qui l’excitait au plus au point. Il n’avait pas fallu attendre trois secondes avant que son sexe se mette à grandir et durcir, jusqu’à remplir complètement son caleçon.
    
    Craignant que Jérôme ne finisse par se retourner, Arnaud s’éloigne finalement à pas de loup et regagne sa chambre à regret. Il s’installe de nouveau sur son lit et attrape son livre, reprend sa lecture là où il l’avait laissée.
    
    Mais il n’arrive plus à se concentrer sur ce qu’il lit. D’où il se tenait, Arnaud n’a pas pu voir le sexe de Jérôme. Il l’a souvent imaginé, comme il aime à le faire avec les garçons qu’il connaît et dont le physique lui plaît. Et le corps nu qu’il vient d’observer dans ce savoureux moment d’indécence le confirme dans ses soupçons.
    
    Il imagine une belle bite large et uniforme, au repos, s’appuyant mollement sur des bourses pesantes et volumineuses, qu’il se plaît à supposer entièrement épilées pour s’accorder avec ce cul et ces cuisses imberbes.
    
    Devant ...