L'université : de la soumission à la consécration (13)
Datte: 19/12/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: donico, Source: Xstory
... fois, elle semble lire dans mes pensées.
- Oui, il faudrait organiser une nouvelle petite soirée de la Fraternité jeudi prochain, le genre orgiaque. Enfin, la routine quoi.
- Je vois, et c’est tout ?
Là, mon regard devient carnassier. Je pose une main à l’arrière de son crâne pour l’inciter à prendre ma queue plus profondément encore.
- Non, il y a encore autre chose.
Ma voix commence à être brisée par le plaisir qui monte, et Sonia fronce les sourcils. Pour la première fois, elle ne semble pas comprendre à l’avance là où je veux en venir.
- Est-ce que ça gênerait Jules, ou toi, si tu couchais avec un autre homme que lui ? Et que moi, bien entendu.
- Ça dépend qui, répond-elle. Ça devrait être envisageable, oui, mais je risque de le rendre impuissant pendant plusieurs jours…
- C’est l’idée justement… lâché-je dans un soupir extatique.
Sonia met quelques secondes à comprendre, mais dès que c’est le cas je vois son visage s’éclairer. Sans lui laisser le temps de parler, je hurle de nouveau mon plaisir et je me répands en de grandes giclées dans son accueillante bouche bien chaude et humide. Mon foutre se mélange à sa salive et je l’entends gémir de plaisir, apparemment trop heureuse de goûter à ma semence.
Je me retire avant la fin de mon orgasme pour avoir le plaisir de lui inonder les seins de sperme. Ils sont déjà magnifiques, opulents et fermes, mais ils sont encore plus beaux avec des traînées de liquide gluant qui maculent les énormes masses ...
... de chair et dégoulinent en d’épais filets le long des tétons.
Sonia récupère ce qui s’apprêtait à couler et le porte mécaniquement à ses lèvres pour le déguster en fermant les yeux de plaisir. Elle étale ensuite le sperme qu’elle a sur les seins, sans doute à seule fin de m’exciter d’avantage, puis elle porte ses seins eux-mêmes à sa bouche, l’un après l’autre, pour ne pas en laisser une miette. Le tout bien sûr avec le regard de chienne en chaleur qui va avec.
Rien qu’à la voir faire, mon sexe qui avait à peine commencé à perdre de la vigueur se dresse de nouveau, près à la bagarre. Mes capacités sexuelles n’ont-elles donc plus de limites ?
Un petit sourire satisfait se dessine sur le visage de Sonia lorsqu’elle réalise que je ne suis toujours pas forfait. Elle se tourne alors, dos à moi, à quatre pattes, prête pour une saillie en levrette. Que demander de mieux ?
Surexcité, je me positionne derrière elle, prêt à la pilonner encore et encore. Je sens que la soirée va être longue !
- Je crois que je vois où tu veux en venir, me dit-elle enfin, alors que mon gland se présente déjà à l’entrée de sa vulve. Mais pour le moment, tu vas me baiser comme une chienne, toute la nuit. Je veux que tu me fasses crier !
Comme en une approbation silencieuse, je la pénètre d’un coup sec, commençant aussitôt mes mouvements de va-et-vient. Je la tiens par les hanches et m’enfonce sans efforts dans sa chatte béante. Mon pubis claque contre ses fesses sans élégance, tandis que ...