Nuatak 4 : - Histoires de Sexe

Nuatak 4 :

... quand d'un seul coup une chape d'ombre s’abattit sur tout la pièce et il ne resta que les ténèbres.

-Je m'attendais à mieux, à plus de cruauté, de sadisme mais rien. Tu es décevant.

-C'est quoi ça ?!

-Mes ombres petit incapable...

Les ténèbres engloutirent tout, sauf ses cris.

La porte éclata littéralement sous l'assaut du mage. Il surgit poings en avant dans la pièce et vit un carnage. Du sang partout, absolument partout. Un crépitement attira son attention. Dans l'âtre, seul endroit épargné par cette mer de sang un feu brulait. Et devant ce feu une Nuatak nue couverte de sang bizarrement encore frais l'attendait avec un sourire éclatant de blancheur.

-Tu t'es fais attendre.

-Je ne me suis pas non plus pressé. Je ne pensais pas que tu serais aussi....

-Sauvage ? Bestiale ?

-Et encore. Je n'ai jamais vu autant de sang....Tu l'as réduit à l'état de pulpe...

-C'était amusant, ses cris à mesure que je lui broyais les os, que je le vidais de son sang. Et cette odeur de fer...Une jouissance exquise.

-Je vois cela.....

-Et je ne suis pas repue...loin de la

Le mage se contenta de sourire de manière tout aussi bestiale que sa compagne et ôta ses vêtement en clin d’œil. Il inspira un grand coup et laissa l'odeur de meurtre de la pièce l'envahir. Un grognement de plaisir s'échappa de ses lèvres. Ce frisson...ouiiii ! Ses crocs le démangeaient..ses cornes...les muscles de ses mains....

Il se jeta sur Nuatak complètement affamé et la plaqua ...

... sur le sol. Il la renifla comme un morceau de viande et lécha le sang qui la recouvrait. L'elfe des ombres se laissa faire, s'offrant complètement à lui pour une fois. Elle sentait son désir contre ses jambes, les mains qui tremblaient d'excitation en carressant ses seins et ses flancs. Il était à la mesure de son apparence sauvage.

Continuant à l'embrasser et à la lécher il descendit vers sa poitrine. Il fit d'abord le tour des seins fermes, évitant les tétons durcis qui n'attendait que lui. Oh qu'elle attendait que sa bouche s'en occupe, que sa langue joue avec ses collines gorgés de sang et de désir. Mais eu lieu de cela il retarda ce moment en allant dans sa vallée mammaire, grognant de plaisir de fourrer sa tête antre ses seins. Elle rit quand elle vit qu'il s'était un peu relevé et qu'elle pouvait voir sa langue en train de la lécher encore et encore, beau spectacle qui renforçait son envie de sentir les crocs du mage contre sa peau.

Quand il s'occupa enfin de sa poitrine elle gémit comme une pucelle sylvaine, putain qu'est ce qu'il était attentionné ! Il cala ses tétons entre ses crocs et s'amusa à les déplacer entre, dents du haut, celles du bas, bref il s'amusait comme pas permis, un vrai gosse devant une montagne de friandise, qui étaient aussi sous la forme d'un coulis carmin. Il l'embrassa goulûment mais elle l'empêcha de retourner à son affaire, pas tout suite.

Visages à quelques centimètres l'un l'autre elle utilisa ses pouvoirs pour créer des vrilles ...