1. Quelques perles


    Datte: 19/12/2018, Catégories: collection, nonéro, Humour perles, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... un balai divin
    
    Moi, vautré sur le canapé, je les regardais faire le ménage.
    
    Je ressentais toujours la tension de mon sexe, l’envie de les rejoindre, le besoin de m’unir à eux et de communier dans cet appel de la chaire.
    
    Je rejoignis donc Homélie Poulain et l’abbé Pierre dans le confessionnal.
    
    De grandes pierres plates nous tendaient les bras.
    
    Séisme : niveau 8 de l’échelle de Richter.
    
    Un chemisier blanc cachait visiblement un soutien-gorge noir.
    
    Sous l’obscure clarté, comme dit Corneille.
    
    Je dévore ses seins. Deux petits lobes, fermes et durs, gourmands.
    
    Avec des anneaux si ce n’est pas du foie gras.
    
    Nous louons un appartement dans une maison d’habitation.
    
    C’est bien vrai, ça, dirait la mère Denis.
    
    Elle était assez "coincée" au début de notre relation, et était en fait vierge.
    
    J’ai fait sauter le verrou en sautant la fille.
    
    Puis il ajouta qu’il voulait me prévenir qu’ils attendaient un visiteur impromptu.
    
    J’ai subodoré qu’il me mentait quelque peu.
    
    Nous restons là, presque face à face, durant de longues et interminables minutes…
    
    Nous prenons ...
    ... notre temps, l’avez-vous bien compris ?
    
    Nous jouissons, ensemble et à l’unisson.
    
    Et tout à fait en même temps, soyez-en certains.
    
    Ma main serre son fin poignet, elle le serre sans se rendre compte qu’elle peut finir par lui faire mal.
    
    Elle n’en fait qu’à sa tête, ma main, parfois.
    
    L’avant-midi passe, des idées folles courent dans ma tête, mouillant constamment mon slip.
    
    Oui, je l’avais mis sur ma tête pour remplacer mon chapeau. Devinez où il était mon chapeau !…
    
    La première pénétration, avec seulement un doigt, m’avait semblée tellement onéreuse.
    
    Je payais de ma personne, croyez-moi !
    
    Il continua ses mouvements, puis décida qu’il serait plus facile de me faire jouir en me débarrassant de mes jeans. Il retira sa main, à mon grand regret. J’étais transie tandis qu’il s’occupait de mes pantalons. Il revint après quelques minutes qui me semblèrent interminables.
    
    - Le pressing est fermé, me dit-il.
    
    Son autre main s’aventurait sans ménagement entre mes deux jambes, à la recherche de mon vagin.
    
    - Un peu plus haut… Encore… Encore… Un peu plus bas, maintenant… Bingo ! 
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