1. La Faute de Christiane


    Datte: 18/12/2018, Catégories: grp, fbi, extracon, cocus, fsoumise, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fsodo, Partouze / Groupe sm, tutu, lettre, lettres, extraconj, cocucont, fsoumisaf, Auteur: Lacépière, Source: Revebebe

    Je ne l’aurais jamais cru, Christiane. Toi, mon amour, ma femme, la lumière de ma vie, la mère de nos enfants, te traîner à genoux devant cet inconnu. Je te revois encore. Te souviens-tu ? Tu portais cet ensemble de dentelle sage que je t’avais offert à ton anniversaire, et tu te préparais à te laisser souiller. La femme en corset noir, qui t’avait obligée à te mettre à genoux, sortait tout droit d’un de ces donjons gothiques pour mascarades fétichistes. Tellement étrangère à l’atmosphère feutrée de ce salon bourgeois, elle semblait irréelle. Pur absolu sensuel et pervers, une diablesse invoquée pour incarner le vice. Tu lui obéissais. Du bout de sa cravache, elle corrigeait ta position. Un coup sous les seins pour que tu te redresses, deux entre les genoux pour écarter tes cuisses.
    
    Pourquoi as-tu fait ça, Christiane ? Pourquoi avais-tu besoin de faire ça ? Tu te rappelles ce qu’a répondu le vieil homme, depuis son fauteuil, quand la femme lui a demandé si ta position était convenable ? Non ? Ça ne te revient pas ? Ta mémoire a censuré cette phrase ? Il a dit : « Une pipe, ça se fait les seins à l’air et les mains dans le dos ». C’est pour ça que tu as découvert tes seins, Christiane, et que tu as mis tes mains derrière toi. Alors, les hommes sont arrivés, un par un.
    
    Le premier avait une grosse bite mate et circoncise. Dans une de tes rares confidences, tu m’avais avoué que tu trouvais plus agréable de sucer un homme circoncis. J’espère que tu as apprécié, après ...
    ... toutes ces années. Tu as eu l’air de te régaler, en tout cas. La femme t’a ordonné d’ouvrir grand la bouche et de sortir ta langue pour avaler la queue plus profondément. L’homme s’est enfoncé dans ta gorge jusqu’à ce que tu manques de vomir, mais, sitôt passé le haut-le-cœur, tu l’as repris en bouche pour l’aspirer de nouveau. La femme t’appuyait sur la tête et elle t’a obligée à regarder le visage de l’homme que tu suçais. C’est en te fixant droit dans les yeux qu’il s’est fait jouir dans ta bouche. Tu l’as avalé giclée après giclée et tu lui as nettoyé sa bite jusqu’à la moindre trace de sperme. Il est ressorti propre. Tu as fait la même chose avec tous les autres. Je n’aurais jamais cru ça de toi.
    
    Tu sais combien ils étaient, Christiane ? Dix-sept ! Je les ai comptés. L’un après l’autre, tu les as satisfaits. Les bites se succédaient entre tes lèvres lâches, chacune pénétrant ton visage toujours plus souillé de sperme, de bave, de larmes et de maquillage déliquescent. Et toujours cette femme qui te pinçait les seins, qui te claquait les fesses ou te fouillait la chatte en te traitant de pute, de traînée, de salope. Et toujours, tes grands yeux reconnaissants quand chaque queutard te jutait sur la langue. Tu étais fascinante de bassesse. Le dix-septième devait se retenir depuis des semaines ; il t’a rempli la bouche à ras bord.
    
    Mais qu’est-ce qui t’a pris, bon sang ? Une femme de ta classe. Ils n’ont cessé qu’à la limite de l’écœurement, quand tes mains revenaient par ...
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