1. Rencontre en boîte


    Datte: 18/12/2018, Catégories: fh, couplus, extracon, cocus, inconnu, parking, boitenuit, voiture, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral fdanus, Auteur: Coquni59, Source: Revebebe

    ... passes où il était possible de poser ses mains sur sa cavalière et celles qui la faisaient tourner sur elle-même. Il ne savait plus où donner de la tête, tantôt les yeux plongés dans son décolleté, tantôt le regard fixé sur sa jupe qui, en tournoyant, laissait apparaître le bas de ses fesses.
    
    Une série de slow commença. Sans hésitation, les deux cavaliers se rapprochèrent. Les deux premières minutes me parurent chastes, Sabine gardant une distance mesurée, puis son partenaire se mit à lui chuchoter à l’oreille. Elle se mit à rire, ce dont il profita pour la serrer de plus en plus contre lui. Sabine, toujours en train de rire à ses chuchotements, se laissait faire sans protestation. La main de son partenaire, restée jusque là sur sa taille, se mit à descendre lentement sur ses fesses.
    
    Je vis l’homme doucement fermer le bout des doigts pour prodiguer un malaxage subtil mais méthodique. Il ne se priva pas non plus pour doucement passer son pouce sur le départ de son sillon fessier, le faisant aller de haut en bas pour le masser sensuellement. La série de slow finit et mon épouse revint à mes côtés accompagnée de son cavalier qu’elle me présenta comme s’appelant Thierry. Il s’assit à côté d’elle.
    
    — Sabine est une excellente danseuse ; elle a le rythme dans la peau et une grâce naturelle.
    — Merci, dis-je en souriant.
    
    La discussion engagée, nous parlâmes de tout de rien en prenant des cocktails offerts par notre ami. Sabine était captivée par cet homme. Je le vis ...
    ... glisser discrètement une main sous la table pour la poser sur la cuisse de mon épouse en faisant de lentes caresses le long de sa cuisse. Sabine riait, participait à la conversation comme si de rien était. Je dus m’excuser pour aller aux toilettes. À mon retour, ils étaient partis. Je ne les voyais pas sur la piste et les aperçus à l’autre bout de la salle se dirigeant vers la sortie. Il me fallut quelques minutes pour fendre les danseurs et me diriger moi-même vers le parking. Entre-temps, je les avais perdus de vue et fis le tour du parking pour les retrouver.
    
    Ce n’est qu’au bout de 10 minutes que je remarquai une Renault Espace aux vitres teintées légèrement abaissées, isolée dans un coin non éclairé. Je m’en approchai lentement pour regarder sans être vu ce qui se tramait à l’intérieur.
    
    Thierry et Sabine étaient à l’arrière du spacieux véhicule. Elle, à genoux sur un siège arrière, tournée vers le dossier, les mains posées de chaque côté de l’appuie-tête, le string gisant sur le sol ; lui légèrement derrière elle, les mains déjà posées sur ses fesses charnues.
    
    — Il me semblait bien que tu avais un cul superbe ; mais maintenant que je l’ai en mains, je suis encore plus admiratif. J’ai cru remarquer que tu aimes qu’on te le masse pendant les slows.
    — Oui, j’aime beaucoup. Il faut croire qu’il est sensible, et tu ne t’es pas gêné pour en profiter durant la danse.
    — Cela n’a pas eu l’air de te déranger, coquine ! Ne fais pas l’effarouchée.
    — Je reconnais y avoir pris ...