1. Plaisir d'exhib


    Datte: 17/12/2018, Catégories: fépilée, caférestau, boitenuit, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, bougie, Auteur: Crabou, Source: Revebebe

    ... apprécier les regards qui se coulent dans mon décolleté ou collent à mes fesses. Une fois assise, je pose un pied nu sur l’entrejambe de mon mari pour vérifier que mon scénario lui fait bien de l’effet. C’est le cas.
    
    Le souper se termine.
    
    — Allons danser un peu. Je connais une boîte où l’on peut s’exercer à la Samba.
    
    L’ambiance est bien lancée quand nous arrivons. Très vite, un homme m’invite à danser et je ne décollerai quasi plus de la piste. La chaleur aidant, mon chemisier épouse encore plus fidèlement ma poitrine, mettant en évidence aussi les pinces qui la décorent. Lors de certains mouvements, ma jupe virevolte dévoilant le bas de mes fesses.
    
    À un moment, mon cavalier me plaque contre lui et m’entraîne dans une série de mouvements de hanches très appuyés. Heureusement que la musique couvre mes gémissements que j’étouffe aussi en me mordant les lèvres car mon sexe n’a pas résisté à l’effet ravageur des boules de geisha et un violent orgasme m’oblige à m’accrocher à mon cavalier pour ne pas tomber.
    
    Lorsque je m’arrête pour reprendre mon souffle, je constate que mon mari est aussi très excité car son pantalon léger ne cache pas sa superbe érection.
    
    — Avant de rentrer si nous allions prendre un dernier verre dans un café un peu particulier dont j’ai entendu parler ?
    
    Nous entrons et prenons place sur une banquette. Tout est peint en noir et quelques couples portent des tenues fétichistes, d’autres sont habillés plus classiquement bien que généralement ...
    ... relativement sexy tout de même. Nous commandons à boire et sirotons notre verre en observant les autres personnes présentes. Lorsque nos verres sont vides, je me penche vers Jean et lui glisse discrètement dans l’oreille.
    
    — Demande-moi d’enlever mon chemisier et d’aller commander deux autres verres au bar.
    
    Il prend la carte, l’examine un moment puis à voix bien haute pour être sûr d’attirer l’attention des gens autour de nous, m’ordonne d’abandonner mon chemisier puis d’aller commander deux cocktails sans me demander mon avis sur ce que je veux boire. Je m’exécute bien volontiers. Je tire une véritable jouissance devant le regard étonné des gens sur ma façon d’afficher aussi ouvertement ma soumission et mes seins en public. L’effet est encore plus grand quand ils découvrent les pinces qui ornent les tétons et la chaîne qui plonge entre mes jambes, suggérant qu’elle se termine elle aussi par des pinces attachées à un endroit encore plus sensible.
    
    Nous buvons alors notre verre tranquillement. Certains nous regardent ouvertement, d’autres à la dérobée uniquement. Une fois ou deux, je me rends aux toilettes, juste pour avoir le plaisir de déambuler torse nu dans la salle.
    
    — J’ai envie de rentrer, appelle un taxi.
    
    Jean m’annonce qu’il arrive dans deux minutes.
    
    — Sortons déjà, nous l’attendrons sur le trottoir.
    
    Mon mari me tend mon chemisier.
    
    — Non garde-le !
    
    Et c’est donc torse nu que je sors. Il n’y a personne dans la rue. Le taxi arrive et c’est dans la ...
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