1. Le peintre et sa muse chapitre 13


    Datte: 14/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le relieur, Source: Hds

    ... à clé ?
    
    - Oui si la femme le veut mais elle peut aussi laisser la porte ouverte.
    
    - Et il peut y avoir des voyeurs ?
    
    - Si la femme le désire, oui, d'ailleurs l'homme là-bas qui choisit des films, il a déjà été souvent voyeur de cela.
    
    Je n'en reviens pas, ou si, je trouve cela d'un érotisme torride.
    
    Il me prend par la main, je le suis.
    
    Nous passons à côté de l'homme inconnu. Il doit avoir trente ans, ressemble à un rugbyman. Il me salue.
    
    Nous descendons l'escalier, passons devant quelques pièces et entrons dans une salle petite avec un canapé et trois fauteuils.
    
    Je m'assieds sur le canapé et lui se met face à moi dans un fauteuil. Il me tend le premier : couleur chair, il fait très réel mais est long et épais.
    
    - Je ne pourrai jamais le mettre
    
    - Si , si, essayez.
    
    - Aidez moi, retirez mon string.
    
    C'est ce qu'il fait et il découvre mon sexe lisse, enfin il le redécouvre puisque lors de ma première visite chez lui il a pu le voir, mais pas d'aussi près.
    
    Il voit bien mes lèvres longues et charnues, mon mont de venus rebondi.
    
    Il est penché vers moi et retire sa chemise. Son torse est glabre, dommage, moi qui aime tant les hommes velus. Mais de nos jours, c'est vrai que les jeunes hommes se rasent.
    
    Je prends le gode en main, écarte mes jambes et penchée je cherche ma fente.
    
    Je le fais glisser entre les lèvres qui sont trempées et je pousse.
    
    Je pousse doucement.
    
    Il entre lentement et je sens comme mon vagin s'ouvre. Il s'enfonce ...
    ... dans les profondeurs de mon sexe et enfouit en moi, je garde mes deux mains sur son extrémité et je me mets en arrière.
    
    Dans cette position à moitié allongée, je commence à le faire coulisser sous les yeux pleins d'envie du jeune vendeur qui est assis face a moi.
    
    Et je le vois qui se met nu.
    
    Son corps est tel que je l'imaginais glabre, musclé, un corps de jeune et son sexe est beau il est long, pas trop gros, comme une épée. Pas un poil autour, cela augmente l'impression de longueur. Assis dans le fauteuil il se masturbe moi je me masturbe on se regarde yeux dans les yeux. Et presque en même temps nous émettons des cris de plaisir, preuves de nos jouissances respectives. Malgré le plaisir qui m'inonde, je vois ses jets puissants de sperme qui sortent, qui giclent et tombent au sol. Quel dommage ! Après ces instants d'intenses plaisirs, nous nous reposons, son sexe pend entre ses cuisses ouvertes, mon sexe est vide et trempé.
    
    J'entends un bruit, des pas, la porte de la pièce apparaît le client qui était dans le magasin. Sans demander la permission il entre et s'assied dans le second fauteuil, toujours face à moi.
    
    - J'aime les femmes qui jouissent bruyamment.
    
    - Merci mais je suis désolée si je vous ai dérangée par mes gémissements.
    
    - Ne vous excusez pas, c'est si beau et si excitant.
    
    Je me surprends à rester dans ma position, face à deux inconnus, toujours en escarpins et avec mon soutien gorge balconnet qui redresse bien mes seins. Mais le nouvel arrivant ...