Anton
Datte: 17/12/2018,
Catégories:
ff,
jeunes,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
attirgros,
Auteur: Yikashata, Source: Revebebe
... une économie de trait remarquable. Marie ne s’était jamais vue ainsi. La femme qui habitait ces pages avait quelque chose d’elle, sans doute, mais il se dégageait d’elle une sensualité que jamais Marie n’avait ressentie. Jamais elle n’avait imaginé que ses bourrelets pourraient être aussi attirants.
— C’est beau, souffla-t-elle. Merci !
Anton eut un sourire bref.
— Vous semblez surprise. Vous ne vous reconnaissez pas ?
— Si… Peut-être… Non, en fait. Vous fantasmez sur mon corps, mais je ne suis pas celle que vous dessinez.
— Si, je vous assure. C’est bien vous.
— Je ne suis ni aussi belle, ni aussi grosse, maugréa Marie en feuilletant le cahier.
— Je vous concède que vers la fin, j’ai un peu forcé le trait, admit Anton. Je vous ai dessinée telle que vous seriez si vous vous donniez la peine de vous épanouir un peu. Mais vous êtes cette femme-là, je vous assure. J’ai longtemps cherché un corps comme le vôtre, et je crois que je l’ai trouvé.
Ils reprirent. Marie se détendait. Son esprit était engourdi par la nuit sans sommeil, mais ses sens étaient extraordinairement aiguisés. Il commençait à faire chaud sous la verrière, et elle transpirait légèrement. La température, étrangement chaude pour un jour d’octobre, ajoutait au surnaturel ambiant et transportait Marie. Elle prit des poses plus naturelles et commença à regarder autour d’elle. Anton ne la quittait pas des yeux. Elle sentait son regard sur son corps, sur ses formes, qui laissait une marque chaude sur ...
... son épiderme. Le regard d’Anton caressait son ventre, il remontait sur ses seins, excitait ses mamelons, redescendait, caressait ses cuisses. Le plaisir nouait le ventre de Marie et descendait lentement dans son sexe. Marie avait toujours mouillé abondamment. Le regard d’Anton s’attardait sur son bas-ventre et sur sa fente épilée. Marie sentit son jus perler à l’orée de son sexe en feu, et cette sensation la remplissait de honte et de jouissance.
Pourvu qu’il ne s’aperçoive de rien, pensa-t-elle, troublée tout en ouvrant les jambes et en s’offrant de plus belle au regard d’Anton. Il va tout voir, se dit-elle, paniquée et emplie d’un délicieux plaisir.
Anton était impassible. Son regard la brûla de plus belle, et elle sentit sa vulve libérer des torrents de plaisir. Elle sentit l’odeur de sa jouissance monter, intense, jusqu’à elle. Rouge de honte, elle changea de pose, et son sexe fit un petit bruit humide. Les coussins étaient tachés, elle en était sûre à présent, mais elle était tétanisée et haletante sous le regard un peu narquois d’Anton. L’odeur de son jus emplissait maintenant la pièce et elle sentait l’humidité de ses fesses et des coussins.
— Pour la dernière série, j’aurais voulu dessiner votre beau cul, Marie, dit Anton. Il est sublime.
Troublée par la demande, elle se mit à genoux et s’appuya sur les coudes, lui présentant ses fesses humides. Glissant un regard, elle vit son jus abondant couler de son sexe en longs filaments brillants. À ce spectacle, ...