1. La jeune et grande brute - 3


    Datte: 17/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Bgp, Source: Hds

    ... dans le vide, pour atténuer la douleur et faciliter le passage du monstrueux pénis. Je n’osais bouger de peur que mes organes n’explosent, laissant à ma maîtresse l’initiative de me manipuler comme elle le voulait. Sylvia m’avait à sa merci et avait bien l’intention de jouer avec mon petit corps. La grande brute commença à me faire coulisser d’avant en arrière, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Le pubis de la géante percutait mes petites fesses à chacun de ses puissants coups de rein. Elle se mit à agiter mes 55kg par la seule force de ses énormes bras musclés avec une fréquence qui n’en finissait pas d’augmenter. Alors que j’étais à la limite de perdre connaissance sous le tremblement de terre que Sylvia m’imposait, je sentis une vague de chaleur m’envahir le bas ventre, et mon clitoris éjecta quelques gouttes de spermes qui s’écrasèrent sur le sol. Je poussai de petits couinements aigus dont je ne croyais pas mes cordes vocales capable, pendant que Sylvia grognait comme un taureau en rut sur la petite génisse que j’étais. Sylvia, satisfaite par mes râles de pucelle, cessa de m’agiter. Me soulevant sans effort, elle me dés-empala du long chibre de plastique, laissant mon anus de vierge hyper dilaté et béant face à son regard comblé.
    
    — Te voilà dépucelée ma mignonne. Tu saignes un peu mais tu as bien encaissé.
    
    Elle me fit pivoter pour coincer fermement mon petit corps sous son bras gauche et avoir accès à mon petit trou meurtri. Elle saisit un tube de gel ...
    ... dont elle m’enduit copieusement la rondelle du bout de son gros index et le soulagement fut si rapide que j’en gémis de plaisir.
    
    — Tu es définitivement une jouisseuse du cul. A peine on effleure ta chatte que tu gémis comme une vierge en chaleur.
    
    Toujours en me maintenant sous son bras, Sylvia alla s’assoir sur le lit. Elle me fit basculer pour me déposer sur sa large jambe droite. Mes cuisses d’araignée paraissaient ridicules contre ses quadriceps surpuissants. Après un tel traitement, mon corps était mou comme du chiffon et je m’effondrai sur l’énorme sein droit de Sylvia, tentant de reprendre mon souffle. Ma culotte baissée jusqu’au genoux me donnait l’air d’une trainée dans laquelle on s’était vidé les couilles. La géante caressait mes jambes dont la finesse et la douceur la fascinaient encore. Sa main finit sur mes fesses et elle était si large qu’elle pouvait entièrement les recouvrir. Elle pétrissait mon petit cul comme une brioche. Je me sentais si bien, habillé comme une pute, mon faible poids reposant totalement sur la cuisse musclée d’une jeune géante qui venait de me sodomiser comme une poupée gonflable.
    
    — Tu t’es bien débrouillée. Je pense que mes copines du club de rugby vont beaucoup apprécier la vidéo.
    
    Je regardai la belle d’un regard empli d’interrogation et de terreur. Tournant la tête, je vis les caméras au 4 coins de la chambre. Sylvia me montra alors une tablette sur laquelle on pouvait voir ce qu’elles filmaient en temps réel. Mon coeur sauta ...