1. Ma femme moi et mes amis


    Datte: 16/12/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mongil, Source: Hds

    J’ai découvert, il y a peu, un plaisir très intense qui se passe dans la tête avant de se concrétiser sexuellement. Voir sa femme se faire baiser par d’autres hommes.
    
    Pas la surprendre avec un amant, non, la voir se faire prendre devant soi par un autre, sans l’avoir voulu, comme ça, par jeux pervers, au cours d’une banale petite soirée entre amis. Pas de l’échangisme non plus, elle était la seule femme pour nous trois, un concours de circonstances, un hasard.
    
    Ma sensation la plus forte a été quand j’ai vu, pour la première fois, le sexe de mon ami Michel s’enfoncer dans le con de Paule, ma femme. J’en bande encore en y pensant et en me remémorant les images. Ce qui est extraordinairement bandant, c’est de s’apercevoir qu’il faut très peu de choses pour qu’une "honnête" femme, un peu timide et réservée se transforme en une véritable salope qui se donne sans retenue à plusieurs hommes à la fois, devant un mari complaisant, quand la première barrière des conventions est franchie. Je me suis demandé s’il ne s’agissait pas de sa véritable nature. C’est sa véritable nature, c’est une jouisseuse.
    
    Paule me dit m’avoir toujours été fidèle. Je n’ai pas de raisons de ne pas la croire. Nous sommes mariés depuis quinze ans. Elle est blonde, yeux bleus, assez grande, mince, bien foutue, jolie, très mignonne. J’aime qu’elle s’habille de façon sexy - robes courtes, minijupes, jamais de soutien-gorge, des bas en hiver, pas de collants - et elle aime le faire.
    
    Comme tous les ...
    ... hommes, je suis voyeur et comme la plupart des jolies femmes, elle est un peu exhibitionniste. J’ai souvent constaté que des hommes la lorgnaient quand elle s’asseyait quelque part ou montait un escalier, rien de plus normal mais, plusieurs fois, je lui ai demandé d’écarter les cuisses, pour le plus grand plaisir des voyeurs qui la mataient. Ça m’excite, et elle aussi, d’ailleurs, elle n’est pas très pudique et laisse voir sa petite culotte très souvent, par inadvertance, bien sûr.
    
    Il m’est arrivé de pousser ce jeu un plus loin. Nous nous étions installés dans un jardin public, les enfants jouaient autour de nous et j’avais remarqué que deux ou trois hommes nous observaient. Paule était vêtue d’une minijupe vraiment très courte et elle s’asseyait, se relevait, croisait les jambes, les décroisait, se baissait, se courbait, s’accroupissait pour s’occuper des enfants. Elle montrait sa petite culotte blanche à chaque instant et ils se régalaient. Je le lui fis remarquer et elle m’a dit :
    
    — Si cela leur plaît, moi, ça ne me gêne pas, au contraire, ça m’amuse. Tu es jaloux ?
    
    Un peu surpris par sa réaction, j’ai voulu me rendre compte si cela l’excitait autant que moi et, puisque ces regards l’amusaient, je lui ai demandé de leur en montrer un peu plus, en enlevant tout simplement sa culotte. Elle me regarda avec un sourire malicieux, se tourna vers moi et se débarrassa du slip. Quand ils s’aperçurent qu’elle était maintenant nue sous sa jupe, manifestement pour eux, les voyeurs ...
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