1. L'escalier de la luxure...ou comment j'ai découvert que ma femme était une salope ! (7)


    Datte: 16/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... mouiller ! Salope ! (J’avais la main entre ses cuisses et elle était déjà tout humide.)
    
    — Baise-moi ! Baise-moi de façon crade, dis-moi des saloperies : dis-moi ce que tu voudrais que ta mère me fasse !
    
    — Chiche, espèce de petite traînée ! “
    
    N’ayant rien à perdre, et voyant là une possibilité de reprendre la main, en plus de m’en payer une belle tranche, je m’étais placé sur le dos, attirant ma femme sur moi. Au moins, son agressivité à mon égard se changeait en désir sexuel inextinguible ! Au cours de nos ébats, Cécile m’avait sorti ses fantasmes... des trucs complètement fous ! Avec le recul, je comprenais maintenant qu’elle était irrécupérable !
    
    La séance de baise avait été sauvage, géniale, inaccoutumée dans mon couple. Alors j’avais tenté de la raisonner une dernière fois :
    
    — Alors tu as vu, on peut faire des trucs géniaux tous les deux, pas besoin de mes parents... alors tu restes, dis ?
    
    — Je sais pas... fatiguée... on en reparle demain ! “
    
    Cette dernière s’était séparée de moi, et avait sombré dans un profond sommeil.
    
    Le lendemain, elle me redit qu’il n’était pas question pour elle de revenir sur sa décision... elle suivrait mes parents ! Dépité, je l’observais plus en détail...
    
    Ma femme s’était habillée différemment des autres fois... elle était très sexy ! Elle portait enfin les fringues excitantes que je lui avais toujours conseillé de porter... en pure perte ! Mais je compris, une boule dans la gorge que ce n’était pas pour me faire ...
    ... plaisir, après le petit échange très dur et surréaliste que nous venions d’avoir !
    
    Un ensemble en jean noir, avec une petite jupe très haute sur les cuisses, et la veste assortie, sur un tee-shirt blanc au-dessus du nombril. Des collants noirs également, et des bottines en cuir noir. Bref, elle était somptueuse et trop bandante. En l’observant bien amener les affaires dans le coffre de mes parents, je compris avec stupéfaction qu’elle ne portait pas des collants, mais des bas, car en se penchant, la petite jupe de jean remonta, et je pus voir les jarretelles au-dessus de la lisière des bas. Mon père, ce gros porc, matait le cul de ma femme avec envie, une bosse déformait son pantalon !
    
    Puis, prenant Cécile par les épaules, ma mère m’avait dit avec un grand sourire et une lueur très lubrique dans le regard :
    
    "
    
    Alors elle est pas jolie ta petite femme comme ça ? Cécile, enfin je devrais plutôt dire Numéro 10, maintenant, m’a rapporté votre intéressante petite conversation d’ hier.
    
    Je ne savais pas que mon fils avait hérité des perversions de ses parents !
    
    Tu vois, quand on lui demande gentiment, elle porte les vêtements sexy que tu lui as achetés, n’est-ce pas ma chérie ? Toi, tu n’as jamais su y faire avec les femmes ! “
    
    Et ma mère roula un patin à ma femme devant moi, tout en lui remontant la jupe au-dessus du bassin :
    
    — Et regarde la petite surprise, juste pour moi ! “
    
    Et sous mes yeux écarquillés, je vis le porte-jarretelles au-dessus du pubis de ma ...
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