Une mise en situation réconfortante
Datte: 15/12/2018,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
fépilée,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
noculotte,
odeurs,
massage,
intermast,
fdanus,
tutu,
lettre,
fsoumisaf,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... attitude est imperturbable, mais tes yeux sourient. À côté de toi, madame C*** respire rapidement, son visage plus coloré qu’elle ne voudrait. Tiens, tiens ! Aurais-je été l’interprète de ses pensées ?
— Voyons Magali, que craignez-vous ? Ma voix se fait complice : nous sommes seules ici… personne d’autre que moi ne peut vous tenir rigueur de votre tenue, n’est-ce pas ?
Comme si la chose m’était entendue, je me concentre sur le choix d’une autre tartelette, avec un grain de raisin cette fois.
— Aussi délicieuse que l’autre, dis-je à mi-voix.
Je la déguste de la même façon, les paupières mi-closes, sans considération pour la malheureuse Céline qui doit souffrir de sa pose.
Magali se décide. Elle dégrafe et quitte très vite son soutien-gorge qu’elle dépose sur ses autres vêtements. Sa poitrine est proportionnée à sa silhouette, moyenne et ferme. Deux arrogantes petites poires brunes couronnées d’une aréole claire et des tétons roses, très longs. Peut-être était-elle gênée de me révéler cette particularité ? Il me faut la dissuader d’en avoir honte, les seins sont tellement importants quand on a son âge !
— Aussi délicieux que le reste, vos seins, Magali !
J’ai volontairement usé du même qualificatif pour complimenter sa poitrine et les fruits. Elle semble flattée et se rapproche pour se montrer de plus près.
J’apprécie le geste et ne me prive pas de l’examiner de bas en haut comme elle tout à l’heure.
— Vraiment délicieuse, souris-je, mais vous ...
... devriez relever vos nattes : j’aimerais que vous veniez me donner les massages que vous m’avez proposés…
— Massage et toilette, Madame, précise-t-elle d’une voix devenue plus sensuelle. Ou la toilette avant le massage, si c’est votre désir, Madame, ajoute-t-elle en nouant ses nattes en chignon.
Je ris.
— Mon désir va aux deux en même temps ! Rejoignez-moi, Magali, et vous, Céline, restez là, j’ai encore faim et soif.
Lorsqu’elle s’apprête à enjamber le bord de la baignoire, je l’arrête en posant deux doigts sur ses lèvres lisses :
— Rasée, ou épilée ?
Jointes à la position relevée de la cuisse, les légères pressions de l’index et du majeur font assez s’entrouvrir la fente pour apercevoir la bordure des petites lèvres, pas du tout roses, mais presque noires. Décidément, cette fille est un patchwork, me dis-jein petto.
Le contact est agréable, ferme et souple au toucher. Je sens battre le sang sous le bout de mes doigts. Les grandes lèvres se gonflent imperceptiblement, élargissant la fente qui révèle mieux les nymphes. Magali s’est immobilisée, sa vulve à hauteur de mon nez. Je respire ostensiblement son parfum intime, une note d’épices des îles mêlées de miel, avec une pointe marine acidulée.
Je réitère ma question :
— Rasée ou épilée ?
— Épilée, Madame, souffle Magali, nous sommes toutes épilées du mont de Vénus au sillon fessier. C’est une consigne absolue de madame Aline.
— Épilation par vous-même, ce qui n’est pas facile, ou par une esthéticienne ? Ou ...