Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit (9)
Datte: 15/12/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... d’autres chose…le professeur Luddendorf semblait échapper directement du III° Reich, grâce à un réseau " Wehrwolf " ( organisme du III° Reich de l’année 1945, chargé de faire évader les criminels de guerre nazis…)
Et c’était, j’en suis sûr l’impact psychologique destiné à ma pauvre femme.
J’aurais parié gros, que mes deux fils, cachés quelque part, devaient se bidonner à voir leur maman chérie dans un tel désarroi !
" N’ayez pas beur, belle enfant, abbrochez ! "
Céline se rapprocha de " Jabba the Hutt " en ayant l’impression d’être la princesse Leia « Orgasma », hormis le détail que cette dernière n’était pas à poil devant le tas de graisse et qu’elle n’allait pas se faire démolir la chatte !
Steven Spielberg au secours !
Le teuton approcha une grosse main aux doigts boudinés et palpa le sexe de ma femme.
" schon! Schon !! Que foila une belle bedide jatte !! Herr Luddendorf fa te la modivier bour la rentre encore blus attrayande, Teufel !!
Ach ! Frankreich , Baris ! Les bedites Femmes…wonderbach…J’atore les bedides Franzaises ! »
Céline se serait pissée dessus tant elle avait peur du personnage et de la situation; il ne lui serait pas venu à l’esprit que trouver un allemand échappé d’un camp de la mort en 2017, en Tunisie, manquait un peu de cohérence ?!
" Plazez- la dans les étriers et addachez la, che ne veux pas qu’elle ze depatte quand j’obererai !! "
Aussitôt deux jeunes infirmiers patibulaires saisirent Céline par les bras et ...
... l’obligèrent à s’assoir dans un fauteuil de gynéco très sale et piteux…
L’un des infirmiers présenta à ma pauvre femme les instruments de chirurgie, sur un plateau, habilement camouflés en instruments de torture.
Scalpels, pinces, spéculums, poinçons, aiguilles à recoudre… le tout qui paraissait sale….
" Foici les inztruments de dordure…bardon de chirurgie…laizzez vous vaire belle enfant ! "
Céline, étirée sur le fauteuil de gynéco, les jambes écartées à outrance, la chatte ouverte sur le monde, commençait à baliser grave :
" Monsieur, s’il vous plait, on arrête tout !
— Nein !! bas bossible j’ai des ordres et ein deutchmann nicht kapitulieren ! " (bon on n’était pas non plus au siège de Berlin en 45 ! Il s’agissait ici de la petite chatte d’amour de ma femme ! ) »
Le jeune et beau commis qui avait guidé ma femme depuis sa prise du taxi, s’approcha d’elle et, très professionnel, sans regarder le merveilleux corps offert à tant de perversions, lui dit d’un ton autoritaire mais conciliant :
« Chère madame, nous pouvons effectivement tout arrêter selon votre souhait…mais je vous rappelle que tout le scénario a été créé et imaginé par votre fils ainé, qui, d’après les instructions qu’il m’a données et qu’il vous a communiquées hier, ne peut être modifié et doit être suivi scrupuleusement d’après son désir.
Il m’a confirmé sans la moindre objection possible de votre part, que si vous renonciez, il en serait très désappointé et qu’il perdrait toute confiance en vous ...