1. Brian est en Irak Ch. 03


    Datte: 15/12/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... pouvait voir l'inté-gralité de mon cul.
    
    Le haut me vêtait à peu prêt autant que le bas.
    
    Si on exceptait l'horrible maxime écrite sur le devant, le tissu était si fin qu'on distinguait clairement mes nichons et était si court, qu'il les décou-vrait jusque sous les mamelons.
    
    Pire encore, à chaque pas la brassière remontait encore, je devais la maintenir d'une main pour ne pas me retrouver les miches à l'air! .....
    
    Le tout mettant en valeur l'horrible sentence : "otez-moi"
    
    Je jetais un oeil sur l'horloge ne me décidant à démarrer qu'à la dernière minute.
    
    Je me rappelais la veille, et me ruais dans la salle de bain pour empoi-gner ma brosse à dents et du dentifrice que je fourrais dans mon sac à main.
    
    J'ouvris ma porte et sortis, puis je verrouillais ma porte cherchant à igno-rer le grand nombre de gens qui s'arrêtait pour me regarder faire.
    
    Je me précipitais vers ma voiture consciente que mon cul était largement exposé à chacun de mes pas.
    
    Je me forçais à ne pas pleurer alors que je me rendais à l'appartement de Tom.
    
    Je me garais aussi prêt que possible de la porte d'entrée et je jetais un nouveau coup d'œil sur ma montre.
    
    Il ne me restait plus que 5 minutes pour toquer à sa porte. Je demeurais dans ma voiture jusqu'au dernier moment.
    
    Je sortais de la voiture et frappais à sa porte à 10 heures pétantes.
    
    Steve m'invita à entrer.
    
    Tom se trouvait dans la cuisine, il buvait une tasse de café, Rory et Steve se tenaient dans le salon, ils ...
    ... regardaient à nouveau le DVD.
    
    Je ne regardais pas la télé, mais j'entendais le son de mon viol, appa-remment ils appréciaient ce Film.
    
    Je vis qu'ils avaient tous une sacré bandaison, j'eus alors une bonne idée de ce que j'allais faire ce matin.
    
    J'étais heureuse de constater qu'Harry et John n'étaient pas là, enfin pour l'instant.
    
    Tom revint dans le salon et m'ordonna de me foutre à poil, je n'étais pas longtemps restée vêtue.
    
    Lorsque je fus entièrement nue, il posa sa tasse à café, descendit son short et le fut signe d'approcher d'un geste du doigt.
    
    J'avais abandonné toute idée de révolte, d'ailleurs sinon je ne serai pas là.
    
    Mon corps avait récupéré de façon surprenante des abus de la veille, ma gorge était encore légèrement endolorie, mais pas suffisamment pour m'empêcher de m'en servir.
    
    Je m'agenouillais entre ses cuisses et entrepris de lui sucer la bite.
    
    J'eus du mal à la prendre en pleine gorge au début, mais après un mo-ment je me débrouillais pour lui faire franchir ma luette, et une fois que j'eus brisé cette barrière tout devint plus facile.
    
    A coup sur ce n'était pas plaisant, mais je pouvais faire une gorge pro-fonde sans trop de mal.
    
    Une fois que j'eus entamé sa pipe, il m'ignora et regarda mon viol qui dé-filait à la télé, ils regardaient nouveau le premier DVD.
    
    Le son de mes gémissements enamourés et mes supplications de me faire baiser de long en large, mes réclamations pour obtenir d'être foutue par plus de bites, majoraient ...
«1234...16»