1. Ma très chère mère ou mon fantasme absolu… (1)


    Datte: 13/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jali, Source: Xstory

    ... n’en ratait pas une miette !), je comprends, médusé mais heureux, la queue à la main et l’oreille collée au mur, que si ma mère semble prendre tant de plaisir, que si ma mère fait tant de bruit lorsqu’ils font l’amour, c’est tout simplement parce qu’il l’encule, simplement, ou qu’elle se fait sodomiser par mon père, comme une vulgaire chienne !
    
    Inutile de vous dire qu’il ne fallut pas longtemps pour réagir et comprendre, qu’évidemment, cette découverte me plaisait. Ce serait mon secret, énorme et précieux, moi seul savais alors la vérité sur eux et surtout sur elle, moi seul savais que le soir, elle aimait qu’il la sodomise méchamment et il ne s’en privait pas.
    
    Et ce soir-là, alors que j’étais déjà tellement médusé et excité, tellement ému d’avoir entendu ces mots, sans même avoir eu le temps de me remettre de mes émotions, juste derrière le mur, la mise en œuvre de la promesse débutait.
    
    Et pour la première fois, ce soir-là, je savais vraiment pourquoi ma mère se retrouvait chaque fois dans cet état proche de la transe. Parce que mon père était vigoureux et endurant et que le cul de ma mère devait l’exciter un peu, mais surtout parce que c’était justement et précisément dans son cul qu’il pouvait mettre sa queue, parce que c’était bien ce que ma mère voulait, prendre sa grosse queue dans l’anus et se faire pilonner sans ménagement.
    
    C’était bien la combinaison de ses deux choses qui rendait ma mère ivre de plaisir et qui la faisait ainsi gémir, si bruyamment ...
    ... parfois mais pour mon plus grand plaisir (et celui de mon grand-père qui se branlait aussi).
    
    Parce que ma mère était parfaitement d’accord pour cette pratique, qu’elle aimait beaucoup, après l’avoir sucé et rendu dur, qu’il vienne la prendre par-derrière pour la faire jouir, et elle jouissait bruyamment, tout simplement.
    
    Je voudrais tellement savoir en détail comment se passaient les choses, ce que tu disais, si tu demandais ou bien si c’est lui qui disposait de toi. Je ne me souviens que de tes soupirs et ils étaient tellement magnifiques, tu me faisais tellement jouir.
    
    Une réalité nouvelle venait de naître concernant ma mère, concernant celle que, déjà, j’aimais par-dessus tout, le soir, quand elle m’offrait ses langoureux soupirs. Mais cette réalité nouvelle ne pouvait attendre, il me fallait l’accepter, l’imaginer, la concevoir. Pour en jouir aussi parce qu’il n’y avait pas de raison.
    
    C’était donc ça, quelque part, ce secret merveilleux qu’elle me cachait, mais je venais de tout découvrir, comment aurait-il pu en être autrement, avec ces murs si fins, ses gémissements si forts, tout ça ne pouvait que profiter à tous et tous (nous étions deux) en profitions.
    
    Elle était, en fait, devenue une autre personne maintenant et je l’imaginais ainsi la journée. Le soir, j’attendais et j’imaginais tout et j’osais tout, je rêvais d’elle devenant ma soumise, je l’imaginais acceptant pour moi toutes les humiliations. Mais, par-dessus tout, ce qui m’excitait le plus restait de ...
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