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Tel est pris qui croyait prendre - chapitre 2
Datte: 14/12/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Damador, Source: Hds
... lumineux que jamais alors qu’il commençait à intensifier ses mouvements. Alors que ses testicules cognaient mon périnée, les sons produits m’excitèrent encore plus et me transportèrent dans un état second. C’était pareil pour lui et il augmenta progressivement la cadence pour me baiser sans ménage « Oui baise-moi, défonce-moi » le suppliai-je. « En une soirée, t’es vraiment devenu une sacrée lope » rigola-t-il. Je me contentai de continuer mes gémissements et mes appels à la défonce. « Stop ». Je finis par lui demander de retirer sa main de mon sexe pour éviter de lâcher une longue quantité de sperme sur le lit. Il arrêta et se retira de moi. « Ok faisons durer le plaisir je n’ai pas envie d’en rester là ». Alors que je prenais une courte pause, il me tourna les fesses vers le miroir et plaça un doigt au niveau de mon trou encore un peu endolori. « Ton trou a au moins doublé de volume » constata-t-il fièrement. Le trou était en effet bien plus gros qu’avant, signe que son sexe m’avait bien moulé la tuyauterie. « Viens-là ». Julien s’était allongé sur le dos et m’indiquait la marche à suivre pour m’empaler sur son sexe. Dans cette position, le pénétré se met sur celui qui pénètre. Le passif prend exceptionnellement les choses en main et donne le rythme. Mais ce qui m’excitait le plus dans cette position, c’était que, autant jusqu’à présent j’avais subi et je m’étais contenté de prendre, autant là c’était la consécration du passif qui montre qu’il aime ça, qui en ...
... redemande, qui décide de la puissance avec laquelle il se fait sodomiser, et qui décide de la durée (et de la dureté) de l’acte. Bref un passif qui assume ses plaisirs, et c’était donc à mon tour de le montrer à Julien. Je me plaçai à genou au-dessus de lui et je pris son sexe dans les mains. Je pris un peu de gel pour en mettre sur son pénis et avoir une excuse pour le branler un peu, tellement j’aimais avoir ce cylindre dans la main. Je le mis au niveau de mon antre et commençai à m’asseoir dessus. Malgré le fait que le chemin avait déjà été emprunté juste avant, c’était toujours aussi compliqué de faire rentrer sa majesté. J’appuyai de plus en plus fort malgré la douleur et le gland rentra puis tout son sexe suivit immédiatement le mouvement. Je poussai à nouveau un râle de plaisir. Le petit coup d’oeil dans le miroir était encore plus bandant : on voyait bien cette grosse forme avec laquelle j’avais été happé. Je débutai les mouvements de haut en bas. Cela excitait particulièrement Julien qui prenait énormément de plaisir. Mon anus étroit frottait on ne peut mieux son gros sexe et lui procurer de fortes sensations. Je pris l’initiative de me baisser pour lui rouler une pèle pendant que je continuai les mouvements et qu’il continuait à me sodomiser. Après deux minutes d’un patin interminable et délicieux, fait de salives entremêlées et de langues gourmandes, je me relevai et je pus apercevoir son sourire toujours aussi significatif mêlant fierté, virilité et presque pitié de me ...