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Fun dans les WC publics (1)
Datte: 14/12/2018, Catégories: Gay Auteur: pab74, Source: Xstory
... mouvement. Je ne savais plus ni où j’étais, ni qui me pilonnait le cul, qui me déchargeait dans la bouche. Lorsque cette bite inconnue délaissa ma bouche, elle fut presque immédiatement remplacée par celle, d’un plus gros diamètre, qui précédemment me limait le cul. Deux secondes à peine après que mon cul fut libéré, ce dernier eut à affronter une main vigoureuse qui voulait à l’évidence profiter de cette entrée très dilatée pour s’y blottir confortablement au chaud, ce qu’elle réussit pleinement après avoir franchi la partie la plus large. Cette main inquisitrice se mit à me labourer les entrailles, mon cul état en feu Le gland épais qui avait pris possession de ma bouche entreprit ses va-et-vient à un rythme soutenu de plus en plus rapide jusqu’à cracher lui aussi son sperme par saccades au fin fond de ma gorge qui n’avait même pas eu le temps d’évacuer la précédente décharge de foutre. Totalement dans les vapes, n’ayant plus aucune conscience du monde qui m’entourait, je ne réagis ...
... pas lorsque cette bite se retira de ma bouche. Une personne de l’assistance dit qu’il fallait nettoyer tout ça et aussitôt une queue longue et mince s’introduit dans ma bouche qui n’avait pas réussi ni à cracher ni à déglutir. Mais au contraire des deux précédentes elle ne s’activa pas et resta immobile. Ce n’est qu’au moment où je sentis un liquide abondant et beaucoup moins sirupeux que du sperme que je réalisais qu’un individu se soulageait tout naturellement la vessie. Conscient de l’étouffement qui me guettait, je n’eus d’autre solution que d’avaler en une fois tout ce que ma bouche contenait, soit deux décharges de foutre épais plus des lampées de pisse chaude dont le jet semblait intarissable. A ce moment la main inconnue qui me fistait se retira délicatement en laissant un orifice haletant et béant. Au bord de la syncope, je me relevais en titubant pour constater que quatre personnes étaient présentes et que chacun se reboutonnait sans m’avoir adressé la parole ni le moindre regard.