Pari perdu - 2 -
Datte: 13/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Première fois
Auteur: jack64410, Source: xHamster
... tendu s’insinua dans son antre avide de pénétration.
Je ne ressentis toujours rien , pas même la douce chaleur de ma compagne sur mon vit anesthésié.
Alternant les positions, le rythme , les angles de l’intromission, je la fis jouir intensément.
Quant à moi, il me fut impossible de ressentir le moindre frisson.
Au bout de quelques très longues minutes, Béa en fut exténuée .
— Je n’en peux plus mon amour. Tu m’as tuée . Me fit elle en souriant, les yeux dans le vague.
J’étais en sueur. A regret, je me détachai d’elle et me couchai à ses côtés . Mon sexe perdit de sa splendeur et elle me prit en bouche .
Privé du toucher, c’est uniquement la vision de mon épouse me suçant encore enveloppé qui me redonna de la vigueur.
La coquine savait parfaitement ce qui pouvait m’exciter . Elle s’acharna sur moi son regard plongé dans le mien puis, elle me délaissa.
— Merci Mamour. C’était formidable. Je t’aime .. Me dit elle en forme de compliment.
— Tu ne vas pas me laisser comme ça ? Implorai je .
— Non , bien sur… Je t’autorise à te masturber en me regardant. Tu as deux minutes pour te faire éjaculer, ensuite, direction la cage…
Bien entendu , elle savait parfaitement qu’après le traitement infligé à ma queue, il me serait impossible d’atteindre mon plaisir.
Je ne l’ignorai pas non plus et, par jeu, j’insistai tout de même en me branlant comme un sauvage.
Le temps écoulé , rien ne vint.
Elle me rattacha les mains, enleva le préservatif et ...
... nettoya mon sexe luisant de crème grasse.
Comme je ne débandai toujours pas, elle s’en alla chercher la poche de glaçons et le froid me fit redevenir humble.
En un tour de main , je fus réemprisonné pour de bon.
— Tu es une perverse ! Lui dis je totalement frustré par la séance.
— Je sais Mamour, c’est aussi pour ça que tu m’aimes !
Et elle m’embrassa, me souhaita bonne nuit, se tourna et s’endormit apaisée.
Je passai une nuit atroce entre insomnies et cauchemars.
Le lendemain matin , ma bite avait retrouvé sa sensibilité.
J’avais toujours eu de gros besoins sexuels. D’habitude, nous faisions l’amour 4 à 5 fois par semaine, avec toujours autant d’empressement, de fougue et de plaisir .
Les rares fois ou nous étions séparés ou bien quand elle était indisposée , je me masturbai et je ne lui cachai pas. Elle n’était pas en reste non plus et nous trouvions ces pratiques naturelles.
J’atteignit bientôt les 8 jours d’abstinence et le lui fis remarquer alors qu’elle avait pris l’habitude, le soir, de me libérer quelques instants pour faire ma toilette intime.
Bien sur , je bandai comme un diable et elle avait parfois du mal à me remettre sous clés.
— Tu verras mon chéri , comme ta jouissance sera terrible quand je t’autoriserai à jouir en moi..
— Oui , mais quand ?
Elle ne répondit pas, se contentant de me sourire.
Pour elle, par contre, il ne fut pas question qu’elle se priva de jouissances.
Mes doigts, ma langue, nos jouets intimes avec ...