1. Une beauté russe


    Datte: 13/12/2018, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... fantaisies curieuses auxquelles je n'avais envie d’accéder. Je n'en poursuivais pas moins la discussion. Domingo entre temps s'approcha au point de s'immiscer dans notre conversation. Sa présence sembla signifier au vieux qu'il gênait. En effet celui-ci prit peur. Il partit.
    
    J'étais perplexe. Il n'était pas sûre que Domingo m'eût vraiment reconnu. En un dernier réflexe j'eus idée d'adopter un accent étranger. En l’occurrence le russe. Fort bonne inspiration. En effet tandis que Domingo me demandait si ce vieux porc m'avait importuné je répondis que c'était un compatriote. Qu'il avait voulu avec moi renouer à l'air du pays. Nantie de cette identité et fort maquillée je pouvais espérer donner le change. Lui faire accroire que j'avais une lointaine ressemblance avec une femme qu'il connaissait. J'embrayais : « T'as envie de goûter à une russe ? »
    
    Il semblait goûter mes appâts. Il avait par trop envie de monter avec moi. Moi-même j’avais désiré depuis longtemps cet homme. Je n'avais pas conçu que notre relation puisse se réaliser en pareilles circonstances. Par trop saugrenue je n'en trouvais pas moins le moment formidable. Il allait me posséder malgré lui et sous le couvert d'une pute. Je décidais que ce serait mon dernier coup. Je me cambrais indistinctement de désir. Il perçut cela ce qui acheva de le décider. Hanches lascives tandis que nous montions les marches je n'étais pas mécontent qu'il songeât à une femme de ses rêves.
    
    Il faisait pénombre dans la chambre. Je ...
    ... trouvais cela propice à ce qu'il ne distingua point trop mes formes et put à ce titre me comparer à une autre personne : la femme de son ami. Je trouvais doux que le suspens et l’ambiguïté en fussent conservés. Je faisais effort à affecter mon accent russe. Prise dans la jouissance et sous les coups de boutoir je crus me trahir plusieurs fois et qu'il me reconnut au travers de ma voix. Heureusement que baiser n'induit pas qu'on bavarde. Il en eût pour son argent. Nous forniquâmes trois longs quarts d'heure. C'était un peu déraisonnable.
    
    Pour justifier un peu mon zèle je lui dis : «T'es mon dernier ce soir. Tu me plais. J'ai voulu te faire un cadeau. » Il rit. Il était flatté d'avoir pu subjuguer une si belle prostituée. Il me demanda si je reviendrais tantôt. Lui-même s’étonnait de ne m'avoir jamais repéré. Je lui dis que je devais sous peu rejoindre à Barcelone mon mec. Il parut chagriné de mon voyage. Je lui dis qu'à tout le moins je repasserais par ici l'été suivant. Pour le consoler je le suçais une fois encore. Gardant deux, trois billets je refilais tout le pactole à la copine dont celle-ci put se réjouir.
    
    Quel ne fut mon trouble le lendemain sur la plage de voir venir de loin Domingo avec sa femme et ses bambins. Le matin à mon retour j'avais expliqué à mon mari que j’avais un peu bu et attrapé sottement la crève. Bref j'étais ici sur la plage sous médoc et assez morose. Mon mari relaya l'info à Domingo. Ce dernier n'en vint pas moins me saluer. Répondant tant ...