1. Le gokkun catholique


    Datte: 13/12/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour Partouze / Groupe Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... elle accepte ce trouble de bonne grâce, car elle sait qu’elle doit accepter cette mortification pour recevoir l’absolution, et ne désire en rien que cette épreuve soit atténuée, car elle a toujours tenu à vivre sa vie sans demi-mesure, ceci comme le reste. Elle se sent comme chez le gynécologue, sauf que trois cents paires d’yeux la contemplent en même temps, que les autres femmes sont jalouses et espèrent qu’elle va beaucoup souffrir, et que les hommes sont très excités devant ce corps magnifique, surtout qu’ils savent qu’ils auront leur part ! Les entrejambes des pantalons sont déjà bien dodus.
    
    D’une voix ferme, le prêtre invite Aurélie à retirer ses mains de devant sa poitrine et son sexe, afin qu’on puisse l’admirer sans entraves. Les messieurs ouvrent enfin leur braguette et sortent leur pénis. Soudain une forte odeur de stupre flotte dans l’église. Troublée par sa nudité, Aurélie se positionne à genoux devant l’autel, face à l’assemblée, et se met à prier afin d’obtenir le pardon divin et aussi pour que Dieu lui donne la force de se montrer digne de l’épreuve. Elle bascule sa tête en arrière et ouvre en grand l’espace de ses lèvres. La voilà en position. Le gokkun peut commencer.
    
    Les hommes s’avancent un à un. Ils forment deux groupes : les uns se branlent au-dessus de sa bouche, de sorte que Aurélie est obligée d’avaler le sperme qu’ils éjaculent, les autres le font dans un saladier qui recueille leur semence. Cela dure une heure pendant laquelle ils sont plus ...
    ... de deux cents à se délester de leur substance virile. Certains passent plusieurs fois, autant qu’ils en sont capables, parfois aidés de leur épouse qui leur chatouille les testicules pendant qu’ils s’astiquent. Ils recommencent jusqu’à ce que la douleur soit telle qu’il leur est impossible de poursuivre, le gland rouge comme un incendie. Après ce délai, le saladier est rempli aux deux tiers.
    
    Le prêtre prend le récipient de verre, le bénit, et le donne à Aurélie qui le porte à ses lèvres et doit en boire la totalité du contenu. Au début, l’odeur est difficile, et elle se demande comment elle va parvenir à déglutir toute cette substance. Pourtant, il le faudra. Elle tient le saladier à deux mains. Petit à petit, le fluide se déverse dans sa gorge. Elle sait que le sperme n’a rien de toxique, que son goût dépend de ce que l’homme a mangé et surtout que cela lui permet de se faire pardonner son incartade conjugale avec Pierre. Lors de cette faute, elle a eu le toupet de procéder chez elle. L’amant n’a même pas eu le temps de se cacher dans le placard, même pas le loisir de prétendre qu’il attendait l’autobus. D’ailleurs, Aurélie aime le sperme.
    
    Émerveillé par la scène, le grand Christ de bois descend de sa croix, retire son pagne, se masturbe comme les autres et se répand directement dans la bouche d’Aurélie. Lui qui a sauvé, à son époque, la femme adultère de la lapidation, il se devait bien de montrer l’exemple en participant au gokkun dans sa version religieuse. Puis il ...