Camille Chapitre 05 - Histoires de Sexe

Camille Chapitre 05

... sert pour caresser sa vulve. Elle a les jambes bien écartées. J'avance sur le lit à quatre pattes. Ma queue se balance entre mes jambes. Dès qu'elle le peut, elle attrape ma queue et elle la tire en direction de son sexe humide. Je ne me fais pas prier. Quand je suis suffisamment près d'elle, elle utilise mon gland pour tracer de grands cercles autour de sa vulve. Je place mes lèvres sur les siennes et je sens qu'elle modifie les caresses qu'elle se prodigue avec ma queue pour se concentrer sur son clitoris. Elle me fait frissonner et elle le sent puisqu'elle pousse un peu ma queue couverte de nos mouilles pour facilement me faire pénétrer en elle. À partir de ce point, elle râle vocalement.

Catherine me caresse tout le corps pendant que ma queue coulisse en elle. Son vagin est musclé et je la sens contracter ses muscles sur ma hampe. Cela m'excite terriblement et je sais que je vais jouir rapidement, tellement en fait que je me sens coupable de prendre tellement de plaisir. Mais rapidement, je réalise qu'elle aussi est très excitée, ses râlements se sont transformés en cri et elle avait ses ongles plantés dans mon dos. Je me suis soulevé un peu pour réaliser que sa poitrine avait pris une belle couleur rosée et son cou était écarlate. J'ai replongé profondément en elle et j'ai replacé mes lèvres sur les siennes. Notre baisé fut de courte durée, mais il fut sauvage, elle m'a même mordu la lèvre et j'ai gouté à mon sang. Immédiatement après la morsure, Catherine m'a ...

... repoussé, elle s'est mise à trembler et à hurler. Son corps s'est couvert de sueur. J'étais planté en elle profondément et sa jouissance a été le déclencheur de mon orgasme. J'avais l'impression de sentir au ralenti chaque contraction de mes muscles et de sentir chaque jet de mon jus qui allait se déposer profondément dans ma cliente. Derrière mes paupières fermées, je voyais un magnifique feu d'artifice.

J'ai senti Catherine qui fondait dans le matelas au moment où je me suis effondré sur elle. Elle me caressait distraitement du bout des doigts. Je sentais la moiteur de son corps sur le mien. Ma queue était toujours plantée profondément en elle et toujours aussi dure. Je l'ai embrassé très délicatement cette fois et elle avait ses deux mains dans mes cheveux. Nous sommes restés ainsi pendant de longues minutes, jusqu'à ce qu'un grand frisson traverse mon corps et qu'elle veuille me réchauffer avec une couverte.

Elle s'est levée et elle est allée à la salle de bain. Quand elle est revenue, elle a insisté pour me nettoyer en profitant pour bécoter mon gland. Puis elle a enfilé son manteau de fourrure et elle m'a demandé de l'attendre. Elle était magnifique avec son manteau.

Elle m'a laissée seule dans le lit pendant de longues minutes. Je m'endormais, mais les sons de l'autre côté des portes fermées me gardaient réveillé. Après qu'ils aient échangé quelques paroles, il était devenu évident que Catherine offrait une gâterie à son mari. Ce dernier semblait apprécier le ...