Pauline à Marseille (6)
Datte: 12/12/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
Dix minutes encore et Pauline était menottée, les mains dans le dos remontées douloureusement vers le collier par une courte chaîne, d’autres menottes emprisonnant ses chevilles ramenées en arrière par une chaîne reliée aussi au collier. Le plug emplissait son anus et la cagoule recouvrait entièrement sa tête, seuls ses cheveux blonds en queue-de-cheval s’échappaient par une ouverture sur la nuque. Un bâillon obstruait sa bouche distendue à la limite de la douleur, seuls deux orifices au niveau de ses narines lui permettant de respirer.
Couchée sur le sol en lino, nue et sans défense, Pauline entendit Jamel quitter la pièce en l’avertissant qu’il allait manger et reviendrait plus tard. Il lui souhaita même de passer une bonne nuit, promettant de bien s’occuper d’elle à son retour.
Comme elle pouvait s’y attendre, Pauline ne passa pas une nuit agréable. Si elle n’avait pas froid, le sol était vraiment peu confortable et elle était incapable d’y remédier, pouvant seulement basculer d’un côté et d’autre, ou alors rester sur le ventre. Quand quelqu’un entra dans la chambre, elle somnolait ; elle connut un instant de panique avant d’entendre la voix de Jamel.
— Salut ma petite pute personnelle. J’espère que tu as bien dormi. Évidemment tu ne peux pas répondre, je vais libérer ta bouche, j’ai envie d’une bonne pipe.
Quant à elle Pauline avait une envie pressante, mais elle avait déjà compris qu’il lui fallait d’abord satisfaire Jamel. Fataliste, elle se laissa faire ...
... quand il la redressa pour la positionner à genoux. Il libéra simplement sa bouche en ouvrant le bas de la cagoule et en ôtant le gros bâillon. Sans laisser un instant à la jeune fille, il engouffra sa verge épaisse dans la bouche ouverte.
— Je vais baiser ta gueule de pute, je ne veux pas sentir tes dents, tu as compris ?
Les mains sur la nuque de sa victime, il entreprit alors de prendre la cavité buccale comme si c’était un vagin, se projetant contre la luette à coups répétés et tentant d’aller plus loin. Au bord de la nausée, Pauline essayait malgré tout de pomper de son mieux l’épieu de chair. Épieu qui franchissait parfois la luette pour plonger plus loin et bloquait sa respiration. À un moment Jamel resta planté presque jusqu’à la garde dans la gorge de la jeune fille ; affolée, manquant s’étouffer, celle-ci commençait à gigoter quand il la libéra, la laissant cracher un flot de salive sur sa poitrine avant le lui présenter à nouveau sa verge.
Obéissante, Pauline ouvrit largement la bouche pour accueillir de son mieux la colonne épaisse qu’elle pompa avec ardeur. Quand Jamel se vida en copieuses rasades, elle avala difficilement la semence avant d’embrasser le gland.
— Tu as l’air d’aimer sucer des bites ; ça tombe bien car aujourd’hui tu vas servir de vide-couilles aux clients du bar de Jacky !
Ce n’est qu’à 11 h que le bar ouvrait, et quand Jamel accompagna Pauline celle-ci marchait bizarrement. Non seulement son anus était empli par un nouveau plug, une ...