Mûres21Marlène aux putes,Brigitte aux bains
Datte: 11/12/2018,
Catégories:
Mature,
Auteur: langauchat, Source: xHamster
... Sans qu'elle soit obligée de le faire, elle se mit gentiment à passer sa langue sur la fente de Marlène, qui goûta cette faveur inattendue. C'était un cunni assez sage, sans grand enthousiasme, mais un cunni tout de même.
Après sa prestation, la fille s'éclipsa pour nous laisser baiser sur ce lit à baldaquin, baignant dans une lumière rose, entourés de coussins vulgaires et de fleurs factices.
La pute suivante, une jolie petite thaïlandaise, dissimulait tant bien que mal son désintérêt pour moi, mais prenait plaisir à se blottir contre le corps de danseuse de Marlène. Enlacées, les deux femmes s'embrassaient. Leurs deux corps tout fins donnaient l'impression de voir deux soeurs vicieuses. La thaïlandaise se donna beaucoup de peine pour bien lécher Marlène.
Ce devait être réussi, car Marlène suçait assez distraitement la queue que je lui avais fourré dans la bouche.
Si Brigitte n'avait pas été aussi coincée, je lui aurais volontiers offert des séances au bordel. J'aurais aimé la voir, les cuisses écartées, dans l'attente de son dessert. Tout en l'embrassant tendrement, j'aurais guetté l'excitation dans son regard au moment où la jeune fille que j'aurais préalablement choisi aurait ouvert la porte, et sans un mot, se serait placée comme une petite servante appliquée pour laper comme une jeune chatte la fente rasée de la vieille dame.
La langue de la pute aurait été comme un trait d'union entre trois générations. A 19 ans, elle aurait eu l'impression de lécher ...
... sa grand-mère de 73 ans.
Peut-être que Brigitte n'aurait pas été trop jalouse si j'avais pris la petite pute en levrette, alors que celle-ci lui lapait le con. Mais connaissant Brigitte, je pense qu'elle m'aurait tendu sa langue en m'attirant vers elle, afin de me faire éjaculer sur elle comme nous en avions l'habitude.
Lorsque j'avais invité Brigitte aux bains thermaux, je peux déjà m'estimer heureux qu'elle ait accepté que nous nous enfermions tous les deux dans une cabine de douche.
nous nous étions déjà bien reposés après la chaleur étouffante du bain turc. Allongés sur des chaises longues, la surveillante des bains devait regarder avec attendrissement ce garçon prévenant qui apporte un verre d'eau à sa maman, ou qui relève l'inclinaison de sa chaise en réajustant sa serviette.
Brigitte s'était relevée. Elle était chaussée de sandales en plastique, élégamment décorées d'une marguerite. Même à moitié nue, on reconnaissait la dame bourgeoise, soignée, que ce soit par ses bagues, ses ongles teints, le port de sa tête, la couleur dorée de son chignon.
J'avais donc rejoint ma fière maman sous la douche. Une fois la porte fermée à clef, nous nous étions dépêchés de copuler après un baiser fougueux. Brigitte s'était retournée, les mains appuyées contre le mur. La douche continuait de couler. M'agrippant à ses hanches, je l'ai bourrée à toute vitesse comme une petite chienne.
Il ne fallait tout de même pas rester une heure dans cette douche. Je lui donnais de ...