1. Après l'orage (1)


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: naipas, Source: Xstory

    ... grosse bitte à ma moule baveuse. Je t’aime ! Je t’aime ! Viens mon amour ! Viens me baiser !
    
    Elle me fait tourner sur elle, saisit ma pine entre ses doigts et la place à l’entrée de sa grotte d’amour, tout en se massant le clito de sa main libre. Je pousse doucement et ma bitte pénètre dans sa moule trempée de sa cyprine. Son vagin se contracte et ma bitte reste prisonnière.
    
    — Je te tiens ! Vas-y à fond. Baise-moi fort. Comme je sens bien ta bitte. Elle m’emplit toute et je la sens frotter dans mon vagin. Vas-y fort ! Plus fort ! Plus... fort ! Plus... viiite ! Plus... fort ! Pousse ta bitte au fond de mon ventre. Je la sens qui est au fond. Oh ouiiii ! Ouiiiiiiii ! En... core, En... core, ouiiiii ! Mon amour ! Je vais jouir avec ta bitte ! Ouiiiii ! Fais-moi jouiiir ! Ça y est ! Ça y est ! Je vais jouiiiiir ! Oh ouiiiiiiiii ! Aaaaaah ! Oui ! Je sens ta bitte qui se gonfle encore ! Jouis avec moi ! Chéri ! Jouis avec moi ! Ça y est ! Je jouiiiiiiis ! Je jouiiiiiiis ! Aaaaaaah !
    
    A ce moment, je ne peux plus me retenir et je jouis bruyamment versant en elle tout mon foutre. Je tombe sur elle qui m’enlace pour me serrer de toutes ses forces.
    
    Il fallut un moment pour récupérer, tant le plaisir était violent. C’est fou ce que l’amour rend paresseux. Nous restons tous deux collés et il nous est pénible de nous séparer. Nous sommes tellement bien l’un contre l’autre. Je la regarde. Ses yeux brillent toujours et un petit sourire fleurit sur ses lèvres.
    
    — Je suis bien ...
    ... dans tes bras, tu sais et j’ai si bien joui. C’était très fort au point que j’ai cru que j’allais m’évanouir. Cela m’a fait une drôle d’impression, je me sentais partir. Je n’ai jamais connu ça et pourtant, sans me vanter j’ai acquis de l’expérience. Au fait, quel âge as-tu ?
    
    — Vingt ans mais il me manque deux dents.
    
    Elle éclate de rire, me reprend dans ses bras.
    
    — Repose-toi un peu.
    
    — Quelle heure est-il ?
    
    — Près de minuit, pourquoi ?
    
    — Pour rien. Le temps a passé vite.
    
    — Tu trouves ?
    
    — Oui. J’ai bien joui aussi.
    
    — Je l’ai senti à ta bitte. Regarde le drap est tout trempé de ton foutre. Tu en avais une sacrée réserve. Tu en as toujours autant ?
    
    — Je n’en sais rien, je n’ai jamais mesuré.
    
    — Blagueur, va. Embrasse-moi.
    
    Je me penche et pose ma bouche sur la sienne. Sa langue s’insinue entre mes lèvres tandis que sa main se replace sur ma queue devenue molle après s’être bien vidée. Son baiser se fait insistant. Je ne reste pas inactif et je lui caresse les seins dont les pointes regonflent.
    
    — Refais-moi l’amour avant de rentrer chez toi.
    
    — J’ai bien le temps, personne ne m’attend.
    
    — Tu vis seul ?
    
    — Non, mais mon père travaille, il ne rentre que demain soir ; il est cheminot ; il fait la ligne de Paris et dort au dépôt de la Courneuve. Ma mère est partie à Paris chez sa tante pour trois jours. J’en ai profité pour aller au cinéma. Tu vois, je me suis retrouvé dans ton lit.
    
    — Tu regrettes ?
    
    — Quelle question ! Comment veux-tu ...