1. Après l'orage (1)


    Datte: 11/12/2018, Catégories: Hétéro Auteur: naipas, Source: Xstory

    ... en continuant à la branler. Mais je te laisse faire ce dont tu as envie. L’improvisation, c’est bien, n’est-ce pas ? Laisse faire ton inspiration, comme tu laisses faire la mienne. Je sens que je ne serai pas déçu.
    
    — Moi non plus, je ne le suis pas. Tu m’as déjà bien branlée et je sens que ta pine va me faire sauter au plafond. Dis que tu vas me faire jouir comme une reine !
    
    — Tiens, les reines jouissent plus fort que les autres femmes ?
    
    — On le dit et je le crois.
    
    — Tant mieux ! Moi je pense que toute femme jouit lorsqu’elle est bien préparée.
    
    — Et bien baisée.
    
    Lentement, avec des gestes mesurés, je commence à la caresser des deux mains en commençant pas le cou, titille le lobe des oreilles, effleure le cou, passe un doigt douce- ment sur les lèvres. Mes mains descendent sur les seins, je lui pince légèrement les pointes déjà toutes durcies, continue alors vers le nombril tout creux où j’entre le bout du médius en tournant légèrement. Je m’arrête un instant pour la regarder. Ses paupières à demi-closes, elle semble savourer ma caresse, car elle gémit doucement, un léger râle. Je reprends mon voyage sur son corps. Mes mains descendent sur les cuisses dont j’apprécie le velouté si doux juste sous la toison rousse. La peau blanche contraste d’ailleurs avec la couleur feu du pubis. Ma droite remonte vers la chatte. Sylvie frissonne et je remarque que les cuisses s’ouvrent lentement.
    
    — Caresse-moi la chatte, s’il te plaît !
    
    — Tais-toi et laisse-moi ...
    ... faire. Ne bouge pas et surtout ne me touche pas.
    
    Toujours aussi lentement, je passe le bout de mes doigts sur la peau tendre de l’entrecuisse, provoquant une réaction rapide: les cuisses s’écartent largement sur une chatte charnue aux petites lèvres longues et épaisses qui s’ouvrent sur un vagin d’où s’écoule une liqueur parfumée. Sylvie veut à tout prix poser sa main sur sa chatte. Je l’en empêche en y posant la mienne. Elle se soulève pour regarder dans le grand miroir qui couvre une partie du mur d’en face.
    
    — Tu ne peux pas rester tranquille et me laisser t’exciter comme j’en ai envie.
    
    — C’est plus fort que moi, j’ai envie de ta bitte dans ma moule et tant que tu ne me la mettras pas, il faut que je bouge. Tu m’excites très fort.
    
    — Sois patiente, tu l’auras ma bitte je te le jure.
    
    Elle se recouche.
    
    — J’aime bien regarder quand on me caresse. J’aime bien voir les doigts ou la bouche farfouiller dans ma cramouille. Cela me fait mouiller plus fort.
    
    — Je vois cela, on dirait que ta chatte est entourée de perles fines. Un vrai collier. Dommage que ce ne soit pas des vraies, je pourrais les prendre et t’en décorer le ventre.
    
    — Tu ne serais pas un peu poète, toi ?
    
    — C’est un grand mot. Disons que j’écris pour passer le temps.
    
    — On peut savoir quoi ?
    
    — Des histoires cochonnes où il est question de chattes, de bittes, de léchage de queues ou de moules, de baise.
    
    — Oh là là! Qu’est-ce que ce doit être chaud. Dis, tu m’en feras lire ? J’ai envie de ...
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