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Marie et le sculpteur aveugle (12)
Datte: 10/12/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... met plein gaz ! Le bateau se cabre et je me sens glisser en arrière. Mes pieds se stoppent sur le pare-brise et je m’aperçois que Brigitte en fait de même. Avec la vitesse, mes cheveux se collent en arrière et je sens quelques embruns de l’écume formée par la proue qui fend les vagues, m’humidifier le visage. Je me sens grisée et Brigitte et moi nous renvoyons un sourire joyeux. Lucien, assis stoïquement sur une des confortables banquettes semble profiter aussi de ce bon moment de détente. Le bateau atteint une vitesse de croisière soutenue mais au fur et à mesure qu’on s’éloigne du rivage, sous la puissance du vent du large, une grosse houle se forme. Je sens ma robe se gonfler et se décoller de ma poitrine que je peux voir en penchant ma tête en avant. Je constate alors avec effroi qu’elle est aussi gonflée qu’un parachute sur mes jambes et que mes cuisses et mes fesses sont complétement découvertes ! Je me retourne et vois les visages hilares des autres qui reluquent mon cul nu avec délectation ! Denis, tout rouge et les mains crispées sur la barre, affiche un sourire embarrassé. Le cameramen, Jean-Michel est en train de filmer ! J’essaye vainement de la rabaisser mais le vent qui s’engouffre est si puissant que j’ai beaucoup de peine à me couvrir. Brigitte rigole aussi alors que sa chemisette gonflée à l’extrême menace de carrément exploser ! Ça lui fait une poitrine démesurée. Denis met les gaz à fond et le chris-craft lutte dans l’énorme ...
... houle. La proue se lève au sommet des vagues et s’enfonce dans le creux suivant, tout en roulant sur les côtés. On se croirait dans une montagne russe et c’est assez grisant mais je suis obligée d’abandonner définitivement toute idée de rabaisser ma robe car j’ai vraiment besoin de mes deux mains pour me tenir au bastingage. Nos corps sont réduits à l’état de pantins désarticulés et Brigitte et moi avons tout le mal du monde à nous maintenir sur le pont avant. Nos corps glissent sans arrêt de gauche à droite ; on se prend des embruns qui commencent à nous mouiller. Soudain, le bateau tangue violemment. On prend peur et nos mains humides et glissantes échappent du bastingage. Brigitte et moi nous retrouvons un instant sans prise en train de glisser sur le pont. Paniquées, on s’accroche l’une à l’autre, moi à sa chemisette, elle à ma robe. Le choc est si violent que nos vêtements respectifs craquent et les boutons s’envolent en rafale sous les yeux goguenards et émerveillés des hommes à l’arrière. Tac-tac-tac-tac-tac font les boutons qui disparaissent dans la mer… Le temps de lâcher prise et de nous sécuriser à nouveau à plat ventre, nos poitrines nues gigotent à tout va ! La chemise de Brigitte qui ne tient plus que par ses épaules vole au-dessus de son dos comme un drapeau. Les yeux masculins ne manquent rien du spectacle, surtout Jean-Michel qui semble très inspiré et se délecte en filmant toute la scène bien à l’abri des embruns derrière le ...