La bourgeoise et le marabout (35)
Datte: 10/12/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
Assister à la consultation de Marie Madeleine chez maître Coulibadou m’a excitée au plus haut point, et je dois bien l’avouer, j’ai été jalouse de mon amie lorsqu’elle a joui sous l’action du sex-toy au cours de son hypnose. De plus, compte tenu d’un emploi du temps plutôt chargé au ministère, François rentre tard et me délaisse un peu. Une envie de sexe et de baise me taraude donc depuis quelques jours et j’ai beau me masturber le soir au lit, cela n’y change rien. Je ne connais qu’un seul remède à ce mal qui me brûle le bas-ventre, mon maître Coulibadou. Une fois au lit, je me saisis donc de mon portable et lui adresse un cours message « J’ai de grosses envies, mais François me délaisse. SOS, SEXE OH SEXE ». Vers minuit, sa réponse accentue le feu qui me consume « rendez-vous demain 17h30, métro Pigalle. Tenue sexy de rigueur ».
Le lendemain, il est exactement 17h25 lorsque je monte les escaliers du métro pour sortir de la station Pigalle que je connais bien. Je suis obligée de faire de petits pas, car compte tenu de la météo clémente, j’ai opté ce matin en m’habillant pour un petit tailleur noir et blanc style Coco Chanel. La jupe étroite m’arrive au niveau du genou et l’ensemble est élégant, mais pas provocant. Monsieur Coulibadou m’attend en haut des marches, il porte une longue djellaba blanche et est coiffé d’un kufi blanc. Il a tout à fait l’image que l’on se fait du vieux sage africain assis à l’ombre d’un arbre et racontant de vieilles légendes à une nuée ...
... d’enfants regroupés autour de lui. Dès que je suis près de lui, il affiche cependant un tout autre visage. Il me plaque contre lui, m’embrasse à pleine bouche et me passe ostensiblement les mains dans le dos et sur les fesses.
Quelques passants nous regardent un peu surpris, par provocation peut-être, mais surtout pas envie de lui montrer que je suis déjà toute à lui, je me frotte à lui et ma langue se mêle à la sienne. Il me dit :
— Suivez-moi Hélène, nous n’allons pas à mon cabinet, mais juste à côté.
Je marche à côté de lui sur le boulevard, puis au lieu de tourner à droite dans la rue Germain Pilon où se situe son cabinet, nous poursuivons notre chemin pour emprunter, juste avant le musée de l’érotisme, la rue Coustou qui monte vers la rue Lepic. Sur le trottoir de gauche, nous entrons dans un vieil immeuble, et faute d’ascenseur, nous prenons l’escalier pour accéder au 5ème étage. Monsieur Coulibadou pousse une porte sans frapper et j’entre derrière lui un peu intimidée. Il m’entraîne vers un grand salon où cinq ou six hommes sont assis sur des poufs autour d’une table basse et partagent un thé à la menthe. Une jeune femme semble assurer le service et mon marabout, se tournant vers elle, lui dit :
— Merci Malika d’avoir servi le thé. Tu peux maintenant rentrer chez toi et t’occuper de tes enfants. Mon amie va prendre ta suite et servir les gâteaux.
Malika m’entraîne dans la cuisine pour me montrer où sont les plateaux puis quitte les lieux. Mon marabout vient ...