1. Ma mère, la raison de mon voyeurisme


    Datte: 10/12/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Voyeurdenis, Source: Hds

    Retour en arrière. Pour ceux qui peuvent se demander comment on peut être voyeur et ne pas intervenir en voyant sa femme se faire prendre dans tous les sens par des inconnus, je vais expliquer pourquoi depuis mon adolescence j’ai préféré regarder que choisir l’affrontement. Ado je vivais avec mes parents, Nicole et Pierre et ma sœur Catherine. Mon père, représentant n’était pas souvent à la maison, ma sœur était délurée, plus âgé que moi elle ramenait des copains en l’absence de ma mère. Les flirts gentillets ont vite laissé la place à des parties de baise que je matais à mon aise caché dans le couloir ou par la fenêtre de sa chambre. Je me masturbais en la regardant se faire baiser, tout en faisant attention au retour de ma mère. Ma mère, Nicole était une femme forte, c’est elle qui faisait tourner le ménage, s’occuper de la maison et nous diriger d’une main de fer. Brune aux cheveux long, grande et bien charpentée elle avait des formes que l’on qualifierait de « généreuse », une poitrine toujours prête à déborder de son corsage et des fesses rondes et énormes. L’air toujours très sérieuse elle passait pour une maîtresse femme dans le quartier. Si elle avait eu vent des parties de jambes en l’air de ma sœur ou de mes branlettes dans le couloir, nous aurions passé un sale quart d’heure ! Enfin c’est ce que je pensais jusqu’au jour où je l’ai surprise en fâcheuse position. Ce jour-là je devais me rendre chez un copain et ne revenir que tard dans la journée, manque de chance ...
    ... (ou pas) en arrivant chez lui j’appris qu’il avait dû partir pour je ne sais quelle raison. Je n’avais plus qu’à rentrer chez moi. De retour, il y avait devant la maison une camionnette, oui j’avais oublié la que la baignoire était complétement bouchée et en l’absence de mon père, ma mère avait appelé le plombier. Je rentrais et direction ma chambre, je n’avais pas envie de les voir, ni ma mère avec qui j’avais encore eu des mots avant de partir, ni le plombier que j’avais déjà croisé, un type costaud, un peu rougeaud avec une grande gueule, désagréable. Peu de temps après je décide d’aller prendre un verre dans la cuisine, apparemment ils sont dans la salle de bain, j’aperçois ma mère, les bras croisés sous sa grosse poitrine ce qui a pour effet de faire gonfler ses seins, comme si c’était la peine, elle porte sa robe à fleurs bleus et attend que le travail avance. Le plombier lui s’affaire sous la baignoire. En sortant de la cuisine, le plombier est debout devant ma mère, c’est bon il a fini, il va pouvoir partir. Mais le dialogue qui débute me pousse à rester dans le couloir.
    
    Le plombier : Bon voilà c’est fait
    
    Ma mère : c’est pas trop tôt
    
    P : ça prend toujours un peu de temps ces choses là, c’était bien bouché
    
    M : on va pouvoir se rafraichir, ça va faire du bien (on était en Juillet)
    
    P : oui c’est vrai, …en plus il doit plus vous en rester beaucoup !
    
    M : de quoi ?
    
    P : des poils de cul ! c’est ça qui bouché la baignoire
    
    M : non mais… ça va pas ?
    
    P : ...
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