1. Brocante, caresses et photos numériques


    Datte: 09/12/2018, Catégories: fh, couple, amour, cérébral, revede, photofilm, odeurs, Masturbation Oral pénétratio, jouet, jeu, mélo, amourdura, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... m’agenouille entre ses jambes, et tout en palpant du bout des doigts les frémissements de son ventre, j’approche ma bouche et mon nez de sa béance pour mieux m’enivrer de son odorante féminité.
    
    Irrésistiblement soumis à une pulsion animale, je me sens prêt à lui imposer la plus vigoureuse saillie. Loin de me retenir, Véronique écarte ses cuisses dès le premier contact, comme pour me signifier son impatience à se sentir transpercée, fouillée, baisée de la plus élémentaire et jouissive manière. Contrairement à la nuit passée, lorsque ma raison avait repris le dessus, je suis cette fois incapable de me retenir. Excité par le goût épicé de sa source de vie et tout ce que je découvre alentour, je rampe sans plus attendre le long de son corps et vais nicher mon nez contre son cou, là où ses cheveux distillent une douce odeur de désir. C’est le coup de grâce. Je tends mon ventre à la rencontre du sien et plonge ma tige au fond de son sexe impatient. Comme elle l’avait fait en dansant contre mon membre gorgé de sève au sortir du bar, elle m’encourage à me lâcher sans plus attendre. Il suffit de quelques coups de reins pour que ma résistance s’effondre et que je l’inonde voluptueusement de ma semence.
    
    J’avais raison de me supposer incapable de me maîtriser. Il a suffi que je retrouve ses parfums intimes pour que je sois terrassé de la plus égoïste manière. Je me sens cependant trop bien entre ses bras pour m’en inquiéter. D’autant que Véronique, peut-être heureuse de l’évidente ...
    ... emprise qu’elle a eue sur moi, me rassure en caressant doucement mes cheveux, jusqu’à ce que je m’apaise. Elle voulait cet abandon, je n’étais pas de taille à résister.
    
    Bercé par le roulis de sa respiration, je me remets lentement du cataclysme qui nous a bousculés. Nos souffles restent quelque temps à l’unisson, puis sa respiration devient plus lente, plus profonde. Quelques minutes plus tard, elle s’endort, blottie contre moi, sa vulve trempée contre ma cuisse. Je ne tarde pas à l’accompagner dans un sommeil sans rêves.
    
    ooo000ooo
    
    Une nouvelle fois, Véronique me réveille du bout des doigts pour que je parte avant le lever du jour. Je respecte son désir sans rechigner. Nous avons déjà partagé ce que le toucher, le goût et l’odorat peuvent offrir d’émotions. Je sais qu’elle me fera découvrir tout son arc-en-ciel sensuel quand elle se sentira prête.
    
    À mon retour chez moi, je reçois à nouveau un résumé de notre nuit sous forme d’un courriel laconique : « J’aime ta manière de me sentir et de me goûter. Reviens samedi prochain, même heure, mêmes dispositions. S’il te plaît… ». Je commence à apprécier ce rythme de retrouvailles hebdomadaires. Même si l’entre-deux me semble bien terne.
    
    Le noir intégral est de nouveau de mise lorsque j’arrive chez Véronique. Cette fois, c’est par la musique qu’elle veut me guider. Elle a préparé une série d’enregistrements différents pour chacune des pièces de son appartement. Je dois donc aller d’un lieu à l’autre pour découvrir les ...
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