1. Bea copie de sa mère suite et fin


    Datte: 09/12/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Mic79, Source: Hds

    ... mes lèvres sur le gland décalotté ; une décharge a du lui traversé le corps car sa tige sous mes lèvres s’est arque-bouté et il a voulu se retirer ; mais j’avais décidé de lui montrer aussi mon pouvoir sur les hommes et lui accrochant son bassin, j’ai englouti le gland puis doucement le reste de sa tige ; si avant d’arriver , j’étais vierge, il n’en reste pas moins que j’avais plusieurs fois sucer un homme , pour l’amener à la jouissance et ce soir, je voulais qu’il me remplisse de sa semence, et ce par tous mes orifices ; il me m’a pas fallu longtemps avant que je sente sa queue grossir et l’empêchant de se retirer, j’ai reçu son flot de sperme dans la bouche, alors que je sentais ma chatte déborder de cyprine.
    
    Il a vite repris le contrôle, et me jetant sur le sol, la tige toujours bandée, il m’a possédée d’une seule poussée ; j’étais enfin à lui et pour mieux le recevoir , j’écartais mes cuisses, lui offrant la possibilité d’une pénétration profonde ; à chaque poussée, je sentais ses couilles taper sur mon sillon ; son mandrin, gonflé, tendu me perforait , m’élargissait les parois ; si lors de mon initiation, j’avais écartelé, là c’était un autre plaisir car je l’avais voulu ; je voulais être sa femme, qu’il me remplisse, qu’il me pourfende, et qu’il me remplisse de sa semence ;
    
    Puissant il l’était et me changeant de position , à son ...
    ... gré, il m’a baisée longuement, ma jouissance devant s’entendre aux alentours. Alors que je venais de jouir pour la énième fois, son gland s’est posé sur mon sillon , luisant de sécrétions commune et m’emprisonnant dans ses bras , il a commencé à pousser sur l’anneau, certes déjà possédé, mais pas par un tel pieu ; quand il a franchi le passage , je n’ai pu retenir un cri de douleur, ce qui n’a eu aucun effet sur lui, bien au contraire ; j’avais voulu qu’il me sodomise et il allait en profiter. le conduit lui étant ouvert, il s’est enfoncé d’une puissante poussée augmentant encore plus la douleur. Petit à petit, alors que sa tige me pistonnait allègrement, le plaisir est revenu, alors que la douleur diminuait ; j’étais à lui, écartant mes lobes fessiers pour qu’il puisse me prendre plus profondément, et il en a profité avant de se rependre par de forts jets dans mon cul.
    
    Je suis restée avec lui toute la nuit et il m’a possédé à sa volonté, sur de sa puissance, me prenant la chatte ou le cul, pour son plaisir, mais aussi pour le mien ; j’étais sa chose pour lui, pour moi, j’étais une femme s’offrant pleinement. Quand au matin, j’ai retrouvé mes parents, inquiets de me pas m’avoir vu de la nuit, je me suis blotti dans leurs bras
    
    « maintenant, je suis à vous, je vous aime, et je veux participer à vos jeux, être votre maitresse à tous les deux » 
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