Tata Laurence et Mamy Geneviève (1) - Histoires de Sexe

Tata Laurence et Mamy Geneviève (1)

... grand bain.

— Je suis sûre que ça l’excite de porter ma culotte.

— Je suis prête à parier que tu vas vite te mettre à aimer la finesse et la douceur du lycra.

— Je ne sais pas si nous allons en faire une petite pédale, mais pour l’instant c’est un bel étalon mon petit-fils.

Compte tenu du fait que c’était ma première fellation, je suis quand même rapidement parti dans la bouche de ma tata. Elle a continué à me sucer quelques instants avant de se relever pour m’embrasser avec toute ma semence qu’elle venait de recevoir. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que c’était ma grand-mère qui prenait le relais pour me sucer encore quelques minutes, ces minutes-là furent infernales tellement c’était bon. Laurence me tenait le menton d’une main et l’autre main était calée dans la raie de mes fesses, c’était vraiment très agréable. À cette occasion je découvrais au combien j’étais sensible à cet endroit-là, jamais je ne l’aurais supposé.

— Je pense ne jamais avoir vu un sexe aussi gros

— Il adore se faire caresser les fesses et son petit trou...

Mamie avait l’air de beaucoup apprécier la taille de mon sexe. Elle a fini par arrêter de me pomper, car elle était consciente que cela devenait insupportable pour moi.

— Maintenant que ta tante et ta mamie t’ont fait une bonne fellation nous allons pouvoir aller nous baigner

C’est donc sur ces mots que nous sommes partis barboter, faire des longueurs, chahuter; bref nous changer les idées.

Après ce moment ...

... de détente nous sommes sortis de l’eau, puis passâmes sous la douche avant de retourner aux vestiaires. Je peux vous garantir que nous étions serrés à 3 dans la cabine; j’ai encore eu le droit à des attouchements qui immédiatement m’ont réveillé mon érection. Ma tata a gardé mon slip dans son sac.

— Tu seras plus mignonne avec ma culotte

— En plus elle te va à ravir, elle met ton petit cul en valeur

Cela me faisait drôle que ma tata et Geneviève parlent de moi au féminin, en même temps il n’y avait pas mort d’homme. Nous sommes rentrés en passant par chez mamie, une fois arrivés chez elle; elle nous a accompagnés dans sa chambre. Geneviève est partie s’asseoir sur son lit, elle a soulevé sa robe; elle a retiré sa culotte, puis me l’a donnée à humer. J’avais l’air d’un con et j’étais gêné avec cette culotte dans les mains, qui mine de rien; sentait bon la femme.

— Plaque-la sur ton nez, pour la sentir, pour apprécier comme une femme sent bon entre les jambes.

Vu que j’étais un peu long à la détente, Laurence m’a pris la culotte des mains et me l’a plaquée sur le nez. Maintenant en respirant je ne pouvais que sentir la cyprine de ma mamie; les deux femmes me regardaient en souriant.

Finalement c’était très agréable.., au bout de quelques minutes Laurence m’a fait agenouiller entre les jambes de ma grand-mère. Elle me fit au préalable retirer mon t-shirt et mon short, je me retrouvai ainsi en petite culotte. Innocent que je suis il m’a fallu quand même quelques ...