Trois sœurs: Roxane
Datte: 09/12/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... Pourquoi, moi?». Ma bite où le sperme et le sang de Roxane a désormais sécher est de nouveau dur. Je me lève, je la fais mettre à quatre patte.
- Pitié, pas encore, pas encore!
Je n'ai cure de ses suppliques. Au contraire, ils m'excite. Je la fais avancer vers le canapé, en la tirant par les cheveux.
- Papa, laisse-moi, j'ai mal! J'ai si mal!!!
Une fois devant le canapé, je la soulève, je la met sur l'accoudoir. Torse et visage sur le canapé, ventre sur l'accoudoir, pieds au sol. Dans cette position, son cul magnifique est surélevé, offert. C'est par là que je vais la prendre, à sec, sans préparation. Ni par un lubrifiant, ni digital.
- Papa, pitié, je n'en peux plus!
Pour toute réponse, je glisse mon pieu entre ses fesses, mon gland contre son anus.
- Tu fais quoi, papa?
- Je vais t'enculer. Tu as vu Anne, tu sais le mal que cela fait de se faire sodomiser.
- Je t'en supplie papa, pas ça! Pas ça!
Pour toutes réponses je commence à forcer. Son sphincter cède rapidement, ma bite rentre alors en entier entre les fesses de Roxane. Mon ventre heurtant ses fesses dans un bruit de grandes claques mouillées. Le hurlement de ma fille est inhumain. Elle cabre de tout son corps, avant de retomber, toujours hurlante, sur l'accoudoir du canapé. Je lui tire les cheveux pour lui faire prendre une meilleure position. Puis je commence alors à la pistonner violemment. Déclenchant une série de hurlements plus affreux les uns que les autres. Moi, j'apprécie ce ...
... fourreau si étroit. Le conduit anal de la belle, serre ma bite en entier, fait rare pour une sodomie. Je sens les parois de ses entrailles palpité de chaque côté de mon membre. C'est tellement serré que c'en est presque douloureux pour mon chibre. Mais je la viole néanmoins comme un sauvage. Cette conne se contracte à l'extrême, rendant encore plus douloureuse sa sodomie. Mais je n'ai cure de rien, je la sodomise comme un malade, lui fissurant l'anus. Le sang de son pucelage anal, ainsi que celui de ses fissures, lubrifient un peu son conduit. Je glisse un peu mieux en elle. Mais cela n'atténue en rien les hurlements de Roxane, au contraire, ma putain de gamine hurle à s'en démettre les cordes vocales. Je veux la défoncer, la traverser de mon braquemart devenu couteau, épée, lance. Mon engin lui massacre l'anus, le rectum, les entrailles. Mais ce n'est qu'un début, je compte bien la détruire de mon engin. Je la tiens par les cheveux tout le long de mon enculage. Ses cheveux comme son corps sont trempés de sueur. Je lui fais le plus de mal possible, cherchant à la faire gueuler de plus en plus fort. Je la viole ainsi de longues minutes. Son hurlement devient plus strident quand, tel un geyser, ma semence lui inonde les intestins. Quand je me retire, son anus palpitant reste grand ouvert, peinant à se refermer. Roxane reste sur l'accoudoir, la tête dans les coussins. Je lui soulève le visage, m'assois en dessous, puis je fais redescendre sa tête sur mon chibre. Enfonçant dans sa ...