Trois sœurs: Roxane
Datte: 09/12/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... regarde pleine d'espoirs. Mais au lieu de la détacher, il se couche sur elle et lui roule un patin. D'une main il sort son pieu, et lui aussi viole Roxane. La jeune fille crie dans la bouche de ce nouveau violeur. Il la violera longtemps, avant de jouir lui aussi dans le ventre serrée de la putain. Puis, comme les autres, il la retournera, et c'est cette fois son petit anus qu'il défoncera sauvagement. Roxane comme c'est maintenant son habitude, le subira, en hurlant, pleurant et suppliant. Quand Lorenzo à finis, il se relève, remet juste son short qu'il a enlever pendant son viol et sort de la chambre. Il doit voir Anne pour savoir ce qu'il se passe. Quand il arrive dans le salon, il est surpris de voir Anne en compagnie de Pierre Kevin et moi. Il nous regarde plus curieux qu'effrayé.
- Mince, c'est quoi ce bordel?
Je le regarde en souriant. Pierre sort avec Kevin, pour le remonter voir Roxane.
- Anne m'a dis ce que tu as fais pour elle et je t'en remercie. J'ai un plan, tu me diras si tu marches ou pas.
Sous les hurlements de Roxane et le retour de Pierre, Lorenzo écoute ce que j'ai à lui dire. A la fin de mon explication, il me donne immédiatement sa réponse.
- Putain oui que je marche.
Dans un premier temps, je décide de prostituer Roxane la nuit. C'est Radiu, le gars chez qui on se débarrasse des filles enlevées pour Kevin, qui s'occupe d'organiser cela. Violée par nous la journée, à l'abattage la nuit, Roxane fut vite psychologiquement détruite. Entre ...
... deux viols, elle reste prostrée, silencieuse, l'air indifférente. Tous les soirs, une voiture venait la chercher. On la maquillait, on lui faisait enfiler des dessous de soie, une jolie robe et, les yeux bandés, elle était conduite jusqu'à un squat à la périphérie de la ville. Lorenzo l'avait accompagnée les premières fois, mais maintenant elle y va seule avec l'homme qui loue ses services.
C'était un endroit vraiment peu engageant. Les murs étaient lépreux, les portes défoncées. Il y avait des immondices dans les couloirs, des fils électriques qui pendaient, des fenêtres fermées par des bâches en plastique. On entendait des cris, des rires... C'était un repaire de toxicos, de clandestins et de réprouvés en tout genre, une vraie cour des miracles. Roxane était toujours conduite au premier étage, dans une pièce nue où trônait un vieux lit en fer avec un matelas défoncé et taché. Les hommes faisaient la queue. On se passait le mot. Des jeunes, des voyous, des clochards, des pervers, des drogués, des vieux, il y avait de tout. Le premier soir, ils étaient une dizaine à attendre, et après une semaine plus de trente. Ils faisaient la queue, ils se branlaient. Certains jouissaient avant leur tour. Ils lui pissaient dessus pour se venger. Elle gardait les yeux bandés. Ses poignets étaient attachés aux barreaux de fer du lit qui grinçait. Elle sentait les ressorts du matelas dans son dos. Certains se couchaient sur elle, enfonçaient leur langue dans sa bouche. Au bout de quelques ...