1. Katherine et April


    Datte: 08/12/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: DXD, Source: Hds

    ... force, presque évanouie.
    
    Elle avait joui, mais pas moi. Je l’observai un moment, allongée sur le dos, et eus une idée. Je vins au-dessus d’elle, et me mis à chevaucher son magnifique fessier, rond ferme, et bien bombé, et frottai mon intimité contre lui, encore et encore, y allant à fond me déhanchant dessus comme une folle dansant dessus de gauche à droite. C’était vraiment bon, délicieux de sentir ce boul si ferme sous moi. Je ne pus tenir très longtemps, excitée comme j’étais et eus à mon tour un délicieux orgasme qui me fit m’effondre sur le matelas, ivre de plaisir.
    
    Nous restâmes un moment étendues sur le lit, savourant notre plaisir. Puis j’eus une brûlante envie de prendre une douche : après une baise, et particulièrement après une baise sauvage, j’adorais aller me doucher.
    
    « Je vais sous la douche, je reviens m’occuper de ton cas après. »
    
    April semblait vraiment sonnée, mais me répondit quand même, d’une voix faible :
    
    « N’oublie pas que t’es pas chez toi, c’est Scott qui paie l’eau, alors explose pas la facture. »
    
    « Je suis chez moi chez tous les mecs que j’ai baisés, répliquai-je avec un clin d’oeil. »
    
    J’entrai dans la salle de bains, me déshabillai, et allai sous la douche. Je restai dessous un bon moment, profitant de l’eau chaude qui allait parfaitement bien avec ce que j’avais éprouvé durant ces trois premières baises que j’avais eues avec April. J’étais satisfaite d’avoir réussi à la mâter par deux fois, et étais même contente qu’elle se ...
    ... soit suffisamment bien défendue pour réussir à me malmener le temps d’une baise.
    
    Je savourais donc le souvenir de ces moments, quand soudain la porte de la salle de bains s’ouvrit à la volée. April entra, ses yeux bleus brillant d’envie. Elle ouvrit la douche d’un coup sec, et entra dedans. Elle me saisit par les hanches, et me plaqua contre la paroi. Je me débattis un peu, mais elle me tenait bien. Elle pressait son corps contre le mien, serrant son imposante poitrine contre la mienne et me collant à la paroi de la douche. Puis, elle glissa deux doigts dans mon intimité, et se mit à me doigter, secouant son poignet encore et encore, me vrillant comme rarement on m’avait fait. Elle me regardait droit dans les yeux, les yeux brillant de plaisir, d’une joie sadique de me malmener comme elle le faisait. A nouveau, je ne fus pas longue à gémir comme une chienne, car ce qu’elle me faisait était incroyablement bon, ses doigts allaient et venaient en moi, aussi dévastateurs qu’une bite, avec l’assurance et l’expertise que seule une fille peut avoir.
    
    Comme tout à l’heure, elle me saisit par le menton, et m’obligea à la regarder dans les yeux, mais cette fois-ci, elle continuait à me doigter, me privant de toute possibilité de rébellion. Et elle continuait, inlassablement, me doigtant encore et encore, me mettant le corps et le cerveau en ébullition.
    
    Lorsqu’elle s’arrêta enfin, j’étais tremblante, sonnée, haletante, je devais me coller contre la paroi pour ne pas chanceler. Elle ...
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